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    Message  Admin Jeu Mar 01, 2012 11:13 pm

    Jésus aurait prédit la venue du Prophète Mohammad dans une Bible découverte en Turquie


    le 29 février 2012

    La Turquie recelait depuis plus de douze ans un trésor livresque précieux, mais aussi brûlant par la prophétie qui y est gravée en lettres d’or : datant de 1 500 ans, une Bible rare a traversé les siècles, et avec elle, la prédiction de l’arrivée du prophète Mohammad( SAWS) sur Terre, émise par Jésus, a résisté à l’épreuve du temps.





    La Turquie recelait depuis plus de douze ans un trésor livresque précieux, mais aussi brûlant par la prophétie qui y est gravée en lettres d’or : datant de 1 500 ans, une Bible rare a traversé les siècles, et avec elle, la prédiction de l’arrivée du prophète Mohammad sur Terre, émise par Jésus, a résisté à l’épreuve du temps.

    Fait marquant, le Pape Benoît XVI a fait part de son souhait, cette semaine, de voir l’ouvrage, comme le relate le Daily Mail. Une prédiction qui vaut aujourd’hui de l’or, après que sa nature hérétique aux yeux de l’Eglise Chrétienne, qui l’a soigneusement censurée pendant des années pour la vision islamique de Jésus qu’elle prêchait, l’ait confinée au secret. Le texte a pris de la valeur au fil des âges, au point de devenir inestimable : il serait estimé à 22 millions de dollars.

    Le ministre turc de la Culture et du Tourisme Ertugrul Gunay a confié au journal britannique : "Conformément à la croyance Islamique, l'Évangile présente Jésus comme un être humain, et non comme Dieu. Il rejette les idées de la Sainte Trinité et le Crucifiement et révèle que Jésus a prévu l'arrivée du Prophète Mohammed."

    Le journal britannique poursuit : "Dans une version de l'Evangile, on rapporte qu'il a dit à un prêtre : comment le Messie sera-t-il appelé ? Mohammed est son nom béni. Et dans un autre, Jésus a nié être le Messie, prétendant qu'il ou elle serait Ishmaelite, le terme utilisé pour un Arabe". Les Musulmans revendiquent le texte, alors que d’autres assurent qu’il correspond à l'Évangile de Barnabé, un complément des évangiles originaux de Mark, Matthew, Luke et John", explique le Daily Mail.

    Le ministre turc a confirmé le grand intérêt du Vatican pour ce livre découvert par son pays en 2000, lors d’une opération de démantèlement d’un réseau de contrebande. Conservée dans un coffre-fort du tribunal d’Ankara, la Bible a été par la suite remise aux bons soins du Musée d'Ethnographie d'Ankara, où elle sera bientôt exposée au grand jour.

    Une seule photocopie d'une simple page du manuscrit relié en cuir et gravé d’or, dans la langue natale de Jésus, l’Araméen, vaut environ 2.4 millions de dollars. Sa datation fait actuellement débat, le pasteur protestant Ihsan Ö Zbek la faisant remonter au cinquième ou sixième siècle, alors que St Barnabé, apôtre de Jésus, a vécu au premier siècle.

    Le professeur de théologie, Ö Mer Faruk Harman, a indiqué au Daily Mail que le procédé du feuilletage scientifique serait certainement le meilleur moyen pour déterminer avec précision, et de manière irréfutable, l’époque de sa rédaction.

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     RELIGION, Islam, Coran,Hadith,Shari3a,  histoire, personnages Empty Calendrier des fêtes musulmanes 2012

    Message  Admin Lun Fév 13, 2012 4:47 am

    1. El Mawlad Ennabaoui Echarif, C’est à La Mecque que Mahomed -saws - est né à la Dimanche 05 février 2012 fin du Ve siècle, en 570 selon certains historiens. Il serait né un lundi soir, précisément le 12 du mois de Rabi al Awal, le troisième mois du calendrier musulman lunaire.



    2. Dimanche 17 juin 2012 , Le voyage de la nuit, ‘voyage nocturne’, ou bien appelé l’Isra en arabe est pour tous les musulmans, le voyage qu’effectue Mohamed -saws - de La Mecque à Jérusalem en pleine nuit, puis le trajet pour le paradis et les enfers.



    3. 20 juillet 2012 Ramadhan,Il est désigné comme le neuvième mois du calendrier lunaire des musulmans. Le premier jour est choisi selon les observations physiques de la lune ainsi que plusieurs calculs astronomiques



    4. Mercredi 15 août 2012,Laylat al Qadr, signifiant ‘nuit honorable’ ou ‘nuit de la majesté et de prestige’, dit aussi la nuit du destin commémore la révélation de la parole de Dieu, du Coran, à Muhammad -saws - face à l’ange Gabriel sur le mont Hira.



    5. Dimanche 19 août 2012, L’Aid al Fitr, ou fête de la rupture est une célébration musulmane qui marque la rupture du jeûne de ramadan. Elle est fêtée le premier jour du mois suivant celui du ramadan, chawwâl. On peut la nommer aussi Aid es-Seghir.



    6. Jeudi 15 novembre 2012, Muharram est le premier mois du calendrier islamique. C’est un des quatre mois sacrés de l’année dans lequel le combat est interdit. Comme le calendrier islamique est un calendrier lunaire, Muharram change de date chaque année, à la différence du calendrier grégorien.



    7. Vendredi 26 octobre 2012, L’Aid al Adha signifie la fête du sacrifice, on l’appelle parfois Aid al Kabir, signifiant la grande fête. On la célèbre dans le Maghreb, c’est une fête très importante pour les musulmans, la plus importante. Elle se déroule le 10 Dhou Al Hiija, le dernier mois du calendrier musulman.



    8. Vendredi 25 octobre 2012, Le jour d’Arafat se déroule le neuvième jour de Dhoul Hiija, un mois lunaire. C’est une journée de l’aboutissement de la religion.

    9. Samedi 24 novembre 2012 Ashura il est conseillé de jeuner le 9 ou le 11 du mois de Muharram afin qu’il ne soit pas confondu avec les fêtes juives.
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     RELIGION, Islam, Coran,Hadith,Shari3a,  histoire, personnages Empty Nouvelle année hégirienne 1432

    Message  Admin Lun Déc 06, 2010 10:13 pm

    Nouvelle année hégirienne 1432
    par Tahar Gaïd - publié le mardi 7 décembre 2010

    L’hégire (hijra)
    Dans ce chapitre, nous relaterons dans quelles conditions le Prophète quitta La Mecque et émigra à Médine, prélude au triomphe de l’Islam sur toute la péninsule arabique.
    Les musulmans furent persécutés par les païens Qoraïshites qui s’attaquèrent plus particulièrement aux gens humbles, à ceux qui n’étaient couverts par aucune protection d’un clan. La vie devenait de plus en plus dure pour l’ensemble des croyants qui, sur l’ordre du Prophète, émigrèrent à Médine, appelée à cette époque : Yathrib.
    Les musulmans quittèrent La Mecque clandestinement et par petits groupes pour passer inaperçus et échapper à la surveillance des païens qui n’hésitèrent pas à recourir à des méthodes ignominieuses pour décourager les partisans de l’exode ; il en fut ainsi, entre autres, d’un certain Hachim-ibn-As : "Apprenant qu’il est musulman et qu’il veut s’exiler, les Qoraïchites l’arrêtent", dit Virgil Georghiu.
    A La Mecque, il n’y a pas de prison. La première prison arabe sera construite à Kofah, bien des années après la mort de Mohammed, par son gendre ’Ali. A cette époque, ceux qu’on arrête sont - comme le noir Bilal - mis aux fers et abandonnés nus sur le sable, ou bien crucifiés sur un chameau et attachés à une caravane, ou bien jetés au fond d’un puits. »
    « Hachim est dépouillé de ses vêtements, chargé de chaînes, et enfermé dans une maison dépourvue de toit, afin que l’épée du soleil le brûle et le taillade dans les chairs jusqu’à l’os. »
    L’idée germa dans l’esprit des Qoraïshites que le seul moyen d’anéantir l’Islam consiste à organiser l’assassinat du Prophète. A cet effet, les chefs des dix principales familles que comprend La Mecque se réunissent pour élaborer un plan.
    Trois solutions furent envisagées : l’arrestation, l’expulsion de la ville et le meurtre. « Lorsque les incrédules usent de stratagèmes contre toi, pour s’emparer de toi, pour te tuer ou pour t’expulser, s’ils usent de stratagèmes, Dieu aussi use de stratagèmes et c’est Dieu qui est le plus fort en stratagèmes » (S. VIII, 30).
    Les deux premières solutions furent rejetées. Dans le premier cas, les partisans du Prophète seraient capables d’employer la manière forte pour le libérer. Le second cas présentait un grave danger pour la sécurité des païens car, loin de La Mecque, le Prophète pourrait lever une armée et les attaquer. Ce fut ainsi que le projet de l’assassinat fut retenu.
    « Pour la société qoraïchite, l’assassinat en soi n’est nullement un acte grave, au point de vue moral, religieux ou humain. La vie d’un homme est exclusivement un bien matériel. Si l’homme est supprimé, il peut être remplacé par un autre, ou par des chameaux, par des moutons, par de l’argent. Le péché d’homicide n’est pas encore connu. A cet égard, le plan d’assassinat de Mohammed ne présente aucun désavantage. Sa vie appartient au clan Abd-al-Mouttalib.
    Le chef de ce clan est Abu-Lahab. Il a exclu Mohammed du clan, pour faute grave envers les ancêtres. Donc Abu-Lahab ne demandera pas de dédommagements aux meurtriers, pour la vie de Mohammed. Au contraire, il prendra part à l’assassinat de son neveu. Le problème ainsi posé, la mort de Mohammed n’entraînera aucun inconvénient. Du moment que la famille ne demande aucun dommage en cas de meurtre, c’est que la vie de Mohammed n’a aucune valeur. Il ne coûte rien. » Les Qoraïshites sont des gens avisés. Abu-Lahab, n’étant pas éternel, un autre chef du clan pourrait plus tard décider de venger l’affront subi. « Pour se mettre à l’abri de toute contestation future, poursuit Virgil Georghiu, contestation qui peut surgir dans dix, dans cent ans, et qui serait une source d’ennuis pour les descendants des assassins, on décide que l’équipe des meurtriers sera formée de représentants de toutes les familles qoraïchites, ainsi que des tribus associées et de toutes les catégories de clients et d’alliés.
    De cette façon, le nombre des assassins, qui devraient éventuellement rendre des comptes, serait assez élevé pour décourager toute réclamation. Il faut que le meurtre de Mohammed soit en quelque sorte anonyme. Cet assassinat doit s’accomplir comme un lynchage. »
    Tabari nous fournit un compte-rendu assez détaillé de la réunion du conseil qui décida l’élimination physique du Prophète : « Walîd, fils de Moghaïra ; Sofyân, fils d’Omayya ; Abou-Djahl, fils de Hischâm, et Abou-Sofyân, fils de ’Harb, se réunirent en secret pour délibérer de quelle manière ils feraient périr Mohammed, qui, disaient-ils, nous insulte, nous et nos invités, et qui veut nous empêcher d’adorer les idoles.
    Walîd, fils de Moghaïra, dit : Enfermons-le dans une maison et laissons-le mourir de faim et de soif. Abou-Djahl dit : Ceci n’est pas un bon avis ; car Mohammed a des parents à La Mecque, qui le rechercheront et qui, s’ils le trouvent, nous soupçonneront ; alors il y aura du sang versé entre nous et les Benî-Hâschim. Abou-Sofyân, fils de ’Harb, dit : II faut le placer sur une chamelle, lui attacher fortement les mains et les pieds, et laisser courir cette chamelle dans le désert, elle le portera vers une tribu étrangère, où il tiendra aux gens ses discours, et ceux-là le tueront.
    Wâlid, fils de Moghaïra, prit la parole et dit : Cet avis n’est pas bon ; car Mohammed est un homme dont la parole est insinuante, douce et agréable ; s’il tombe dans des tribus arabes, il séduira les gens, qui se concerteront et viendront nous attaquer. Cela ne serait pas prudent. Ensuite, on demanda l’opinion d’Abou-Djahl. Celui-ci dit : Je pense que nous devons choisir quarante hommes, pris dans toutes les tribus, des hommes vigoureux, de trente à quarante ans, que nous enverrons se poster à la porte de Mohammed.
    Ils le guetteront à son passage ; au moment où il sortira, le soir, pour faire sa prière et pour faire les tournées autour du temple, ils fondront sur lui avec leurs épées et le tueront. Quand les Béni-Hâschim apprendront sa mort, nous dirons que, comme il a été tué par quarante hommes et que l’on ne peut pas tuer quarante personnes pour le talion d’une seule, nous consentons à payer le prix du sang, tel qu’ils le fixeront. Ensuite nous répartirons entre nous cette somme, que nous payerons. De cette façon nous serons débarrassés de toute difficulté à son endroit. »
    Le Prophète fut informé du complot par une de ses tantes. Il se rendit aussitôt chez Abu-Bakr et l’informa qu’un groupe de tueurs se préparait à attenter à sa vie au lever du jour. Le dynamique Abu-Bakr ne perdit pas de temps. Il organisa rapidement le départ vers Médine, aidé par un esclave et un guide. A cet effet, il acheta deux chamelles qu’il cacha en dehors de la ville, prêtes à s’élancer dans le désert au moment voulu. Il conduisit ensuite le Prophète dans une grotte du mont de Thaur, située approximativement à une heure de marche de La Mecque.
    Entre temps, il fut demandé à ’Ali de s’installer dans la maison du Prophète, de revêtir son manteau et de se tenir le dos contre la fenêtre pour faire croire à l’ennemi que l’Envoyé de Dieu était toujours là. ’Ali reçut également pour instruction de dormir dans le lit du Prophète à la tombée de la nuit. « Lorsque la nuit fut un peu avancée, dit Tabari, les quarante hommes vinrent se placer près de la maison du Prophète, chacun dans un coin, dans l’intention de tuer Mohammed, quand il sortirait, le matin, pour la prière.
    Mais, vers minuit, ils se dirent entre eux : allons, entrons dans sa maison pour le tuer ; car il se pourrait qu’au jour les Béni-Hâschim fussent avertis, et que, en nous voyant, ils reconnussent que nous voulons tuer Mohammed. Ils se précipitèrent donc, tous ensemble, dans la maison du Prophète. Ayant trouvé seulement ’Ali, qui était couché, ils furent désappointés. »
    A l’aube, quand les Qoraïshites comprirent qu’ils avaient été joués, ils se lancèrent à la poursuite du Prophète et d’Abu-Bakr dans l’espoir de les capturer. Pendant toute la durée des recherches, qui dura trois jours consécutifs, les deux fugitifs restèrent cachés dans leur refuge. « En vérité, les Qoraïchites, dit Virgil Georghiu, n’ont aucune chance de découvrir le Prophète.
    Ils ont mobilisé des centaines d’hommes et des centaines de chameaux rapides pour explorer les routes du désert, les grottes et les défilés, ils comptent uniquement sur leur nombre, sur leur force et sur leur habilité. Ils ignorent qu’ils doivent aussi lutter contre Dieu. Ils ne croient pas en Dieu. Mais Dieu - une fois de plus - a sauvé le Prophète.
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    Message  Admin Lun Déc 06, 2010 7:24 am

    Les 99 noms (attributs) de Dieu
    Par Yamin Ibn Yahya


    La doctrine des plus beaux noms de Dieu (asmâ' Allâh al-husnà) a pour fondement coranique Coran 7.180, 17.110 et 20.8.
    C'est à Allah qu'appartiennent les noms les plus beaux. Invoquez- Le par ces noms et laissez ceux qui profanent Ses noms : ils seront rétribués pour ce qu'ils ont fait. (A'raf :180)
    Allah ! Point de divinité que Lui ! Il possède les noms les plus beaux. (Taha :Cool
    Dis : "Invoquez Allah, ou invoquez le Tout Miséricordieux. Quel que soit le nom par lequel vous l'appelez, Il a les plus beaux noms.[...] (Isra :110)
    L'idée de base est que si Dieu est fondamentalement inconnaissable en Son mystère, on peut néanmoins connaître quelques modalités de Son être et de Son agir. Ces modalités sont traditionnellement au nombre de 99. Ce chiffre est fondé sur un hadith ("dit du Prophète") d'Abû Hurayra : "Certes Dieu a 99 noms, cent moins un. Quiconque les énumère entrera dans le Paradis ; Il est le singulier (witr) qui aime qu'on énumère Ses noms un à un " (Boukhâri, tome 8, B.12, R.12)
    Dieu
    ALLAH

    Le Très Miséricordieux
    Al-Rahmân

    Le Tout Miséricordieux
    Al-Rahîm

    Le Souverain, le Roi
    Al-Malik

    L'Infiniment Saint
    Al-Qouddoûs

    La Paix, le Salut, Celui qui n'a pas de défauts
    As-Salâm

    Le Confiant, le Sécurisant, le Témoin intègre, Celui qui témoigne de sa véridicité
    Al-Mou'min

    Le Dominateur, le Témoin, le Surveillant, l'Arbitre suprême
    Al-Mouhaïmin

    Le Tout Puissant, l'Irrésistible, Celui qui l'emporte
    Al-Aziz

    Celui qui domine et contraint, le Contraignant
    Al-Djabbâr

    Le Superbe, Celui qui se magnifie
    Al-Moutakabbir

    Le Créateur, le Déterminant
    Al-Khâliq

    Le Créateur, le Producteur, le Novateur (s'utilise le plus fréquemment pour les créatures dotées d'une âme)
    Al-Bâri'

    Le Formateur
    Al-Mousawwir

    Le Tout-Pardonnant
    Al-Ghaffâr

    Le Tout et Très-Contraignant
    Al-Qahâr
    Le Donateur gracieux
    Al-Wahâb

    Celui qui pourvoit, Celui qui sustente
    Al-Razzâq

    Celui qui ouvre, Celui qui accorde la victoire
    l-Fattâh

    Le Très-Savant, l'Omniscient
    Al-Alîm

    Celui qui retient, Celui qui rétracte
    Al-Qabiz

    Celui qui donne largement, Celui qui dilate
    Al Bâsit

    Celui qui abaisse
    Al Khâfiz

    Celui qui élève
    Al Râfi'

    Celui qui donne puissance et considération
    Al Mou'izz

    Celui qui avilit
    Al Mouzhile

    L'Oyant, Celui qui entend absolument toute chose
    As Sami'


    Le Voyant, Celui qui voit absolument toute chose
    Al Basîr

    Le Juge, l'Arbitre
    Al Hakam

    Le Juste, l'Équitable
    Al A'dl

    Le Subtil-Bienveillant, le Bon
    Al Latîf

    Le Très-Instruit, le Bien-Informé
    Al Khabîr

    Le Longanime, le Très Clément
    Al Halîm

    L'Immense, le Magnifique
    Al Azîm

    Le Tout-Pardonnant
    Al Ghafoûr

    Le Très-Reconnaissant, le Très- Remerciant. Celui qu'on remercie
    As Shakoûr

    Le Sublime, l'Élevé
    Al Aliyy

    L'Infiniment Grand
    Al Kabîr

    Le Préservateur, le Conservateur, Celui qui garde
    Al Hafîzh

    Le Gardien, le Puissant, le Témoin, le Nourricier
    Al Mouqît

    Celui qui tient compte de tout, Celui qui suffit à ses créatures
    Al Hasîb

    Le Majestueux
    Al Djalîl

    Le Tout-Généreux, le Noble-Généreux
    Al Karîm

    Le Vigilant, Celui qui observe
    Al Raqîb

    Celui qui exauce, Celui qui répond
    Al Moudjîb

    L'Ample, le Vaste, l'Immense
    Al Wâsi'

    L'Infiniment Sage
    Al Hakîm

    Le Bien-Aimant, le Bien-Aimé
    Al Wadoûd

    Le Très Glorieux
    Al Madjîd

    Celui qui ressuscite, Celui qui incite
    Al Bâ'is

    Le Témoin
    As Shahîd

    Le Vrai, la vérité
    Al Haqq

    Le Gérant, l'Intendant, Celui à qui on se confie
    Al Wakîl

    Le Très-Fort
    Al Qawiyy

    Le Très-Ferme
    Al Matîn

    Le Très-Proche, le Maître, le Tuteur
    Al Waliyy

    Le Très-Louangé, Celui qui est digne de louange
    Al Hamîd

    Celui dont le savoir cerne toute chose, Celui qui garde en compte
    Al Mouh'sy

    Celui qui produit sans modèle
    Al Moubdi'

    Celui qui redonne existence
    Al Mou'îd

    Celui qui fait vivre
    Al Mouh'yî

    Celui qui fait mourir
    Al Moumît

    Le Vivant
    Al Hayy

    L'immuable, Celui qui maintient l'ordre de la création
    Al Qayyoûm

    L'Opulent
    Al Wâdjid

    Le Noble, le Majestueux
    Al Mâdjid

    L'Unique
    Al Wâhid

    Le Maître absolu, le Soutien universel
    As Samad

    Le Puissant, le Déterminant
    Al Qâdir

    Celui qui a pouvoir sur tout
    Mouqtadir

    Celui qui met en avant
    Al Mouqaddim

    Celui qui met en arrière
    Al Mou'akhir

    Le Premier
    Al Awwal

    Le Dernier
    Al Âkhir

    L'Apparent
    Az Zwâhir

    Le Caché
    Al Bâtin

    Le Maître, Celui qui dirige
    Al Wâli

    Le Sublime, l'Exalté, l'Elevé
    Al Mouta'âli

    Le Bon, le Bienfaisant, Le Bienveillant
    Al Barr

    Celui qui ne cesse de revenir, d'accueillir le repentir de ses adorateurs
    At Tawwâb

    Le Vengeur
    Al Mountaqim

    Celui qui efface, l'Indulgent
    Al Afouww

    Le Très-Bienveillant
    Al Raoûf

    Le Possesseur du Royaume
    Mâlikoul Moulk

    Le Détenteur de la Majesté et de la Générosité
    Zhoul Djalâl wal Ikrâm

    L'Équitable, Celui qui rend justice
    Al Mouqsit

    Celui qui réunit, Celui qui synthétise
    Al Djâmi'

    Le Suffisant par soi, Celui qui n'a besoin de personne
    Al Ghaniyy

    Celui qui confère la suffisance
    Al Moughni

    Celui qui empêche, le Défenseur, Celui qui protège
    Al Mâni'

    Celui qui contrarie, Celui qui peut nuire (à ceux qui l'offensent)
    Ad Dhâr


    Celui qui accorde le profit, l'Utile
    An Nâfi'

    La Lumière
    An Noûr

    Le Guide
    Al Hâdi

    Le Novateur
    Al Badî'

    Le Permanent
    Al Bâqi

    L'Héritier
    Al Wâris

    Celui qui agit avec droiture, Celui qui dirige avec sagesse
    Al Rachîd

    Le Patient, le Très-Constant
    As Saboûr


    ________________________________________


    Dernière édition par Admin le Jeu Sep 01, 2011 7:59 am, édité 1 fois
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    Message  Admin Lun Nov 29, 2010 8:13 am

    Le Prophète (saws) s’adressant à Ibn Abbâs, dit “Sache que même si toute l'humanité se réunissait pour te faire du bien, elle ne pourrait te faire du bien que dans la mesure où Dieu l'a écrit dans le destin pour toi. Et sache que si toute l'humanité se liguait pour te faire du mal, elle ne pourrait te faire du mal que dans la mesure où Dieu l'a écrit dans le destin pour toi. Les plumes ont fini d'écrire, les feuillets ont séché” (rapporté par at-Tirmidhî).
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    Message  Admin Sam Sep 18, 2010 10:05 am

    Aussi cruel que cela puisse paraître, il est vraiment rare de trouver un livre de Mohamed Arkoun dans les librairies et les bibliothèques de son pays ! Pire encore, on ne lui a pratiquement rien édité de son vivant dans son pays.

    Mohamed Arkoun, un nom qui vaut un monument, une personnalité élevée au rang du mythe et une œuvre célébrée dans le monde entier. Lue et relue dans les plus prestigieuses universités du monde, l’œuvre de Mohamed Arkoun demeure tout de même quasiment introuvable en Algérie.

    Dans notre pays, nombreux sont aussi, notamment parmi les étudiants en Sciences Islamiques, qui ne connaissent presque rien de cet intellectuel qui a révolutionné le champ des études islamiques en fondant l’Islamologie Appliquée.

    Cette discipline, inscrite dans la droite ligne de la critique de Kant, de Bachelar et de Michel Foucault, a remis en cause la lecture dogmatique de certaines conceptions de l’Islam. Le travail de critique que Mohamed Arkoun a imposé à tous les systèmes de productions de sens de la pensée islamique a ouvert des pistes de réflexions novatrices.

    Dans ce sillage, les travaux de Mohamed Arkoun ont été acclamés dans toutes les grandes universités du monde, de la Sorbonne, à Princeton. Ces livres ont traversé l’Europe et le Monde. Ils sont disponibles en Belgique, en Italie, en Hollande, en Angleterre et jusqu’à l’Indonésie.

    Mais de tous ces livres et de tous ces travaux, que peut-on trouver en Algérie ? Et ben, presque rien. Aussi cruel que cela puisse paraître, il est vraiment rare de trouver un livre de Mohamed Arkoun dans les librairies et les bibliothèques de son pays ! Pire encore, on ne lui a pratiquement rien édité de son vivant dans son pays.

    Et pourtant, ce génie a produit depuis le début de la deuxième moitié du 20ème siècle. Et quelle production ! de L'Islam : religion et société, jusqu’au Pour une critique de la raison islamiqueen passant par Combats pour l’Humanisme en contextes islamiques, pratiquementtous les livres de Mohamed Arkoun, traduits dans une multitude de langues, ont été des best-sellers.

    Toutefois, en Algérie, l’accueil de cette œuvre fut si timide et si violent surtout, qu’elle passa quasiment inaperçue. Contesté pour sa pensée rebelle et ses prises de position à l’encontre des tenants de la doctrine Malékite, les différentes maisons d’éditions publiques des années 70 et 80 en Algérie ont été carrément obligées d’interdire la diffusion de son œuvre.

    Sinon comment expliquer que l’Office des Publications Universitaires (OPU) n’a publié que deux petits ouvrages de ce penseur en 30 ans ! Et il fallait encore attendre les années 80 pour voir l’OPU publier un traité d’Arkoun sur l’Islam et les sciences humaines. Un livre d’à peine 250 pages qui ne constitue nullement un point culminant de la pensée du défunt intellectuel.

    Quant au deuxième livre, il s’agit de La PenséeArabe, qui fut, lui, édité à la fin des années 80. Deux livres en une décennie ! On ne peut pas dire que nos autorités tenaient vraiment à ce que les livres de ce chercheur soient connus et lus en Algérie. Le troisième livre qui a pu voir le jour en Algérie a été édité par l’ENAL en 1993. Il s’agissait d’un essai intitulé : Penser l'islam aujourd'hui.

    Depuis, aucun de ces livres n’a pu être publié en Algérie. Et Arkoun n’a refait surface sur la scène culturelle nationale que grâce à une maison d’édition indépendante, Barzakh édition, qui a réédité dans les années 2000 son ouvrage capital : Humanisme et Islam. Combats et propositions.

    Mis à part ces quelques ouvrages, les lecteurs Algériens n’ont jamais pu lire ses autres livres qui, pourtant, ont alimenté des débats passionnés sous d’autres cieux où la pensée critique ne fut pas censurée. Pour les plus avisés, il fallait surtout voyager à l’étranger pour se procurer un livre d’Arkoun.

    Et aujourd’hui encore, seules quelques librairies qui se comptent sur les bouts des doigts à Alger, à l’instar de la librairie des Mots et des Beaux Arts, continuent à proposer à la vente les livres de ce mythique penseur. Si nul n’est prophète en son pays, en Algérie, nul penseur, aussi grand soit-il, ne peut aspirer à la gloire et à la reconnaisse. Tout ce qu’il pourra récolter, ce sont quelques présents de censure et, surtout, beaucoup d’indifférence… Mohamed Arkoun n’a pas échappé, malheureusement, à cette règle.
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    Message  Admin Sam Déc 26, 2009 5:52 am

    La Zakat ou régime de protection sociale en
    Islam





    par Mohamed Hicham El Arafa







    Dès les prémices de l’Islam , le livre saint qu’est le
    Coran invitait les fidèles à se rapprocher de leur Seigneur en accomplissant la
    zakat.



    La Zakat peut se définir comme un acte spirituel et
    purificateur, elle permet aux fidèles de se détacher de leurs biens matériels
    pour pouvoir se rapprocher de leur créateur.



    La Zakat fut un thème abordé dès le début de la
    révélation, en effet à la sourate 17 du livre saint, le thème de générosité y
    est développé .



    Au début cet acte était purement volontaire en effet
    pendant la période mecquoise le prophète (PSDL) lançait un appel à la
    générosité mais l’acte était laissé à la volonté de chacun.



    Avec l’émigration vers Médine, cet acte qu’est la Zakat
    va prendre une nouvelle dimension plus importante.



    Beaucoup de fidèles ont tout abandonnés derrière eux pour
    accompagner le prophète dans son émigration vers Médine et ainsi arrivés sur
    place ils ne disposaient de rien.



    Face à cette situation le prophète lançait un appel de
    générosité aux habitants de Médine ; en effet il est demandé aux familles
    médinoises de prendre en charge temporairement les émigrants. Peu à peu les
    fidèles commencèrent à prendre conscience de l’importance de la zakat. Il est
    important de souligner que la zakat n’a été codifié dans le saint Coran que
    deux années après l’Hégire , en effet le Seigneur a laissé le temps aux fidèles
    pour se familiariser avec cet acte avant de l’ériger en obligation. Par la
    Grâce et la Générosité de Dieu la Zakat fut instituée comme régime de
    solidarité comparable au régime de protection sociale en vigueur en France.
    Ainsi la Zakat devint le régime de solidarité en Islam.



    La Zakat est une obligation divine, sa première finalité
    étant manifester son attachement à DIEU en accomplissant cet acte et être
    solidaire à l’égard de la communauté musulmane.



    Les inégalités étant inévitables, la Zakat a été institué
    pour y remédier, donc les musulmans doivent être solidaires pour faire face à
    ces inégalités.



    Selon la volonté du Tout Puissant chaque être humain a
    droit à une vie décente ainsi la solidarité de la communauté peut y contribuer.



    La Zakat était collectée dans une caisse sociale ou fonds
    de solidarité puis était répartie aux démunis de la communauté .



    Toute personne possédant des biens matériels ou
    immatériels et que ces biens suffisent à satisfaire ses besoins vitaux est
    soumise à la Zakat.



    Généralement la plupart des fidèles pensent que la Zakat
    est calculée sur la somme restante dans le compte bancaire en fin d’année. Ceci
    est quelque peu erroné car en réalité toute personne se doit de calculer les
    recettes provenant de tous ces revenus ( salaire, location ..etc) et les
    dépenses nécessaires ( faire une estimation de ses dépenses vitales c’est à
    dire le loyer, le budget alimentation, le budget habillement, les impôts.) et
    calculer la différence. Seulement cette somme est soumise à la Zakat . Il est
    nécessaire de rappeler qu’on entend par dépenses nécessaires celles qui sont
    vitales c’est à dire que les primes de remboursement d’un crédit ne peuvent
    être prises en compte par exemple.



    Si la somme est supérieure ou égale à 6000 FF ( cette
    somme est indexée à la valeur de l’OR ,on considère qu’elle est
    équivalente à 85 g d’or environ) alors on doit s’acquitter de la zakat qui est
    égale à 2.5% du montant.



    La Zakat est aussi bien applicable sur le capital en
    argent que sur le capital commercial.



    La Zakat est distribuée en priorité aux pauvres, aux
    nécessiteux, aux démunis de la communauté ce qui induit qu’elle ne peut être
    versée à des non-musulmans. Il ne faut pas confondre la Zakat destinée aux
    seuls musulmans et l’aumône qui peut être donnée à toute personne sans
    distinction.



    Cet acte purificateur doit être accompli une fois par an,
    il n’existe pas de date précise mais généralement la plupart des fidèles s’en
    acquitte pendant le mois sacré du ramadan. Ce n’est pas une obligation mais
    seulement un repère idéal car pendant ce mois sacré on s’acquitte aussi de la
    FHITR . Certains fidèles accomplissent leur acte soit au début de l’année
    lunaire soit à la fin de l’année civile soit à un autre moment. L’élément
    primordial c’est l’acquittement de la zakat une fois dans l’année , la date est
    secondaire.



    Aujourd’hui chaque fidèle accomplit son acte
    individuellement ce qui est très louable mais ne serait-il pas plus intéressant
    de le faire collectivement en communauté.



    Effectivement pourquoi les mosquées ou des groupes de
    fidèles ou d’autres formes d’institutions ne seraient ils pas chargés de la
    collecte de cette zakat et puis dans un second temps d’en assurer la
    distribution aux plus nécessiteux de la communauté.



    Ainsi la zakat aura une dimension plus importante auprès
    des fidèles car c’est l’un des piliers de l’islam le moins visible.



    Il est nécessaire que chaque groupe de fidèles
    réfléchissent à la manière de redonner vie à ce pilier aussi important que les
    autres.





    (Il est nécessaire de rappeler aux frères et aux
    sœurs que cet article est un résumé de la conférence sur la zakat donné par
    Mohamed Hicham EL ARAFA, ainsi toute erreur ne peut être imputable au
    conférencier. Que Dieu me pardonne pour toute erreur ou déformation commise
    ainsi que l’auteur )
    ALADIN
    ALADIN


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    Message  ALADIN Mer Déc 23, 2009 10:18 pm

    ACHOURA

    par Moussa Allem



    Dixième jour du mois de Mouharram,
    premier mois du calendrier musulman, on y célèbre, à l’origine, la libération
    des enfants d’Israël, du joug de Pharaon, mais aussi le repentir d’Adam chassé
    du Paradis, la fin du déluge et le salut de Nouh ( Noé ) celui d’Ibrahim sauvé
    du feu ( Coran, sourate 21, verset 69 )…, de Moussa - Moïse sauvé des eaux du
    Nil et de la sortie de Younous - Jonas du poisson, que la Paix de Dieu soit eux
    tous.


    Mais les sources étant divergentes,
    l’on retiendra surtout que lors de l’arrivée, en 622, du Prophète Mouhammad  RELIGION, Islam, Coran,Hadith,Shari3a,  histoire, personnages Saws à Yathrib (
    qui deviendra Madinat Annabi, Médine ) ce jour là coïncidait avec Yom
    Kippour
    .


    Lui expliquant les raisons de leur
    jeûne, le Prophète répondit aux Juifs : « Nous sommes prioritaires, sur
    Moïse, par rapport à vous »


    Il conseilla, alors, à ses compagnons
    de jeûner et lorsque le jeûne du mois de Ramadhan fût révélé, deux ans plus
    tard, le jeûne de Achoura devint en principe recommandé mais non
    obligatoire, à condition de jeûner deux jours - dont Achoura - pour se
    différencier du Judaïsme.


    Néanmoins, il donne lieu à des
    manifestations folkloriques très colorées chez les Sunnites et à des
    démonstrations de masse, d’une intensité saisissante, chez les Chi’ites.


    En effet, le 10 Mouharram de l’an 680
    de l’ère chrétienne, Hussein, petit-fils du Prophète et fils de Ali ibnou abi
    Talib, Que Dieu ennoblisse son visage, quatrième Calife de l’islam, lève une
    armée à la Mecque et marche sur l’Irak, pour faire valoir ses droits à la
    succession califale, ouverte après l’assassinat de son père, imputés aux
    Omeyyades.


    Après un siège de dix jours de la
    ville de Koufa, Hussein ( que Dieu l’agrée ) et son armée sont défaits, malgré
    une opposition farouche, par les troupes du calife Yazid 1er envoyé
    de Damas. Hussein fût, selon la tradition, décapité et son corps mutilé. Il est
    enterré à l’endroit même où il mourut, et ce lieu est aujourd’hui un grand
    centre de pèlerinage.


    La « Achoura Chi’ite », dans
    laquelle on retrouve les notions de rédemption, de passion du Christ et du
    martyr, commémore l’assassinat de Hussein par d’impressionnantes manifestations
    populaires ou la « passion » du fils de Ali et reconstituée et vécue par des
    milliers d’acteurs exaltés qui courent, se lamentent, se flagellent et
    s’infligent des coups jusqu’au sang.








    Et Seul Dieu est le plus Savant !
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    Message  Admin Mar Nov 10, 2009 6:56 am

    « A Dieu appartient l’Orient et l’Occident. »
    (Coran, II, 142)
    ALADIN
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    Message  ALADIN Lun Nov 09, 2009 5:24 am

    Charia : Qui décide de ce qui est
    licite ?





    mercredi 4 novembre 2009 - par Khalid Chraibi





    La stratégie
    des meilleures pratiques



    Les ONG spécialisées
    dans la protection des droits des femmes dans les pays musulmans développent,
    depuis quelques années, une nouvelle stratégie pour surmonter les problèmes
    rencontrés dans l’application des règles de la charia.


    Cette stratégie est
    fondée sur le postulat suivant : « Du moment que toutes les mesures
    appliquées dans le domaine du contrôle de la polygamie sont considérées par les
    oulémas comme « conformes à la charia », malgré leur très grande
    diversité ; et puisqu’il existe, dans ce large éventail de mesures, des
    règles appliquées dans des pays déterminés, qui protègent mieux que d’autres
    les droits des femmes et des enfants ; alors ce sont ces mesures,
    qualifiées de « meilleures pratiques », dont les ONG réclament
    l’application dans les pays musulmans, en substitution aux mesures en vigueur,
    quand ces dernières sont moins efficaces pour atteindre les objectifs
    recherchés. » (39)


    L’exemple
    tunisien



    L’ONG « Women
    Learning Partnership » (WLP) a ainsi dressé un tableau comparatif des
    « meilleures pratiques » utilisées dans les pays musulmans, au niveau
    des principales rubriques des codes de statut personnel (ou droit de la
    famille). Concernant la polygamie, la « meilleure pratique », de
    l’avis de WLP, est l’interdiction pure et simple appliquée par la Tunisie. (40)
    Le Collectif 95 Maghreb Egalité, regroupant les principales ONG de défense des
    droits des femmes au Maroc, en Algérie et en Tunisie, réclame lui aussi
    l’adoption d’une telle mesure. (41)


    En effet, d’après ces
    associations, une telle interdiction permet de résoudre, de manière efficace et
    définitive, tous les problèmes familiaux et sociaux associés à la pratique de
    la polygamie. Et, comme l’a affirmé le mufti d’Egypte Muhammad Abduh dans sa
    fatwa sur cette question : « il est licite en droit musulman
    d’interdire aux hommes d’épouser plus d’une femme, sauf en cas de nécessité impérieuse
    démontrée au magistrat chargé de cette question. Absolument rien n’interdit
    cette prohibition, seule la tradition s’y oppose. » (42)


    L’exemple
    marocain



    Certaines associations
    féminines, cependant, comme « Sisters in Islam » (SIS) de Malaisie,
    (43) ne sous-estiment pas le poids des traditions comme facteur de blocage dans
    la voie des réformes en ce domaine. Elles oeuvrent pour l’adoption d’une autre
    « meilleure pratique », moins révolutionnaire peut-être que l’option
    tunisienne, mais qui serait déjà appliquée dans un pays musulman avec de bons
    résultats, et qui serait plus acceptable pour les oulémas et la population de
    manière plus générale.


    Les mesures relatives
    au contrôle de la polygamie figurant dans le « Code de la famille »
    du Maroc, après sa révision en 2004, constituent, à cet égard, d’après de
    nombreuses associations de défense des droits des femmes, un bon exemple de
    codification en ce domaine. (44)


    Charia :
    Qui décide de ce qui est licite ?



    Comme il ressort de la
    diversité des règles juridiques appliquées dans le monde musulman en matière de
    pratique de la polygamie, et des justifications dont elles sont assorties, les
    arguments présentés par les différentes parties au débat sont souvent
    parfaitement cohérents et défendables, chacun dans le cadre de sa propre ligne
    de pensée, sur le plan social, et en se basant sur sa propre école juridique
    comme référence. C’est ce qui ressort également du débat (virtuel) entre le
    mufti d’Egypte Muhammad Abduh et le cheikh d’al-Azhar Mahmoud Shaltout au sujet
    de l’interprétation et de l’application des règles de la charia relatives à la
    polygamie.


    Pour comprendre la
    logique de cette diversité de règles et d’arguments, il faut placer le débat
    dans sa véritable perspective. Dans ce but, il faut tout d’abord souligner qu’aussi
    bien Shaltout que Abduh ne font qu’exposer leur opinion juridique sur la
    question de la polygamie. C’est une « fatwa » qui permet à leurs
    lecteurs de mieux saisir ce que la loi dit, d’après eux, sur cette question.
    Mais, comme toute fatwa, elle ne s’impose à personne. Comme l’explique Sheikh
    Abdul Mohsen Al-Obeikan, vice-ministre de la Justice d’Arabie Saoudite,
    « même les décisions de la Chambre d’Ifta (organisation saoudienne
    officielle de fatwa) ne s’imposent à personne, que ce soit aux individus ou à
    l’Etat. » (45)


    Le professeur Ahmed
    Khamlichi, Directeur de Dar al Hadith al Hassaniya (du Maroc) observe, à cet
    égard : « Les ulémas n’ont pas le monopole d’interprétation de la
    charia. Evidemment ils doivent être consultés au premier plan sur les questions
    de la charia. (Mais) ce ne sont pas eux qui font la loi religieuse, de même que
    ce ne sont pas les professeurs de droit qui font la loi, mais les
    parlements. »
    (46)


    De fait, il n’existe
    pas de hiérarchie religieuse en Islam. Il n’existe pas, non plus, d’autorité
    suprême capable de statuer sur ce qui est licite ou illicite, pour l’ensemble
    du monde islamique.


    Ainsi, comme le note
    le vice-Ministre de la Justice d’Arabie Saoudite, même une fatwa de l’Académie
    Islamique du Fiqh (AIF) ne s’impose à aucun des 43 Etats membres de cette
    institution spécialisée de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI).
    Elle n’a de valeur que comme l’expression d’un point de vue juridique par un
    organisme spécialisé, à l’instar d’un exposé dans les livres de fiqh.


    L’interprétation
    de la charia dans le cadre de chaque Etat



    La charia est, de
    fait, interprétée et appliquée dans le cadre de chaque Etat, en fonction de ses
    propres choix. Ce sont les autorités politiques, religieuses et législatives de
    chaque pays musulman, agissant de concert, soit par consensus, soit par
    négociation, qui détiennent ainsi le pouvoir de décider de ce qui sera
    considéré comme licite dans le pays (en puisant dans la base de données de
    toutes les options que la charia peut offrir sur une question donnée).


    L’élaboration des
    codes de statut personnel (ou de droit de la famille) fournit une bonne
    illustration de la démarche appliquée.


    Les gouvernants
    choisissent, dans un éventail de solutions, toutes considérées comme licites en
    Islam, celle qui répond le mieux à leurs objectifs. L’option sélectionnée est
    examinée avec toutes les parties concernées, et en particulier avec les
    autorités religieuses (comme le Mufti ou le Conseil des Oulémas), puis fait
    l’objet d’un projet de texte de loi qui est présenté au Parlement pour
    discussion et approbation. Une fois ce texte adopté par le Parlement, puis
    entériné par toutes les instances institutionnelles concernées, il est publié
    au « Journal Officiel » du pays. Il acquiert alors force de loi, et
    devient le texte juridique de référence pour déterminer ce qui, dans cet Etat,
    est considéré comme licite en Islam, dans le domaine concerné. C’est sur la
    base de ce texte de loi que tous les actes juridiques devront être préparés, et
    que les tribunaux du pays seront appelés à statuer.


    Mais, ce qui est
    considéré comme licite dans un Etat musulman, à un moment donné, sur une
    question donnée, peut être considéré comme illicite dans un autre Etat
    musulman, au même moment.


    Le cas de la
    Tunisie



    L’interdiction de la
    polygamie en Tunisie en fournit une bonne illustration. Aux yeux des autorités
    tunisiennes, cette interdiction est parfaitement licite, puisqu’elle est fondée
    sur des principes et des règles communément admis en droit musulman. S’il
    fallait des preuves de sa licéïté, il n’y aurait qu’à citer la fatwa du mufti
    d’Egypte, Muhammad Abduh, ou du ’alem de la Qarawiyine Allal el Fassi, (47) qui
    ont tous deux appelé de leurs voeux cette interdiction. Ils ont développé, à
    cet effet, une argumentation juridique solide, que nul juriste musulman de
    renom n’a jamais remise en cause, alors qu’il s’est écoulé plus d’un siècle
    depuis la fatwa de Abduh et un demi-siècle depuis les écrits de Fassi.


    La licéïté de l’option
    tunisienne est également corroborée par le fait qu’au Bangladesh, pays réputé
    pour son conservatisme sur le plan d’application de la charia, la Division
    spécialisée de la Haute Cour de Justice a rendu en 1999 un jugement
    décourageant fortement la pratique de la polygamie dans le pays, et demandé au
    Ministère de l’Intérieur d’étudier de manière approfondie s’il était
    « possible ou non d’interdire la polygamie ». Elle suggéra au
    Ministère que la même ligne de raisonnement utilisée en Tunisie pour interdire
    la polygamie pourrait s’appliquer au Bangladesh. (48)


    Les facteurs
    explicatifs de la diversité des règles



    Mais, d’autres Etats
    maintiennent un point de vue opposé, en se fondant sur d’autres principes et
    règles du droit musulman qui sont, également, communément admis. Une telle
    situation n’est pas rare, et s’explique par le jeu combiné de plusieurs
    facteurs :






















    Les pays
    musulmans appartiennent à des écoles de pensée juridique, ou rites, différents
    (Abu Hanifa, Malek ibn Anas, Chafi’i, Ibn Hanbal, Shi’a), dont chacun a
    développé sa propre méthodologie pour étudier les mêmes questions ;




    Les oulémas
    peuvent interpréter différemment des textes de référence religieux dont
    l’énoncé se prête parfois à de multiples interprétations ;




    Une certaine
    confusion prévaut, dans certains cas, entre les coutumes et les traditions nationales
    d’une part, et les prescriptions religieuses proprement dites, d’autre part.
    (49)


    De plus, les textes de
    loi basés sur la charia, qui sont en vigueur dans un pays musulman, évoluent
    avec le temps. Chacun d’eux fait l’objet de modifications plus ou moins
    importantes, en fonction des circonstances, et de l’évolution de la société. Ce
    qui était licite à un moment donné peut devenir illicite à un autre moment, et
    vice versa, quand la loi nationale applicable a été modifiée. C’est une
    situation que l’on observe régulièrement, à l’occasion de la révision des codes
    de statut personnel (ou codes de la famille) nationaux. (50) Car, si les
    valeurs et les principes de la charia sont immuables, les règles d’application
    des prescriptions religieuses (telles qu’elles figurent dans les codes
    nationaux, par exemple) s’adaptent aux nouvelles circonstances sociales.


    C’est cette faculté
    qu’a la charia d’être réinterprétée, compte tenu de nouvelles circonstances,
    (lorsque les autorités politiques, religieuses et législatives, agissant de
    concert, optent pour le changement), qui donne toute sa crédibilité à
    l’affirmation des juristes musulmans, selon laquelle « la charia peut
    s’appliquer en tous temps, en tous lieux et en toutes circonstances. » (51)


    Notes


    (39) Khalid Chraibi,
    « Droits de la femme en Islam : la stratégie des meilleures
    pratiques », Oumma.com, 6 et 20 mars 2009


    (40) Women
    Learning Partnership (WLP) : « Best practices in family law :
    country comparisons »


    (41) Collectif 95
    Maghreb-Egalité : “Cent mesures et dispositions pour une codification
    égalitaire des Codes de Statut Personnel”, 1995 ; et “Dalil (guide) de
    l’égalité dans la famille au Maghreb”, 2003


    (42) Muhammad Abduh,
    « Fatwa fi ta’addud al-zawjate », ibid, pp. 90 et 92-95


    (43) Sisters in
    Islam, Malaysia, « Reform of the Islamic family laws on Polygamy, 11
    December 1996 », a memorandum to the Malaysian authorities ; et “Best
    practices in family law” ; et Sisters in Islam, Malaysia, website, article
    on « Polygamy »)


    (44) Royaume du Maroc,
    Ministère de la Justice, « Guide pratique du code de la famille »,
    Rabat, 2007


    Voici les principales
    dispositions applicables à la polygamie : L’article 40 du code spécifie
    que « la polygamie est interdite lorsqu’une injustice est à craindre
    envers les épouses. Elle est également interdite lorsqu’il existe une condition
    de l’épouse en vertu de laquelle l’époux s’engage à ne pas lui adjoindre une
    autre épouse. »


    L’article 41 précise
    que « le tribunal n’autorise pas la polygamie dans les cas suivants :




    lorsque sa
    justification objective et son caractère exceptionnel n’ont pas été
    établis ;




    lorsque le
    demandeur ne dispose pas de ressources suffisantes pour pourvoir aux besoins
    des deux foyers et leur assurer équitablement l’entretien, le logement et les
    autres exigences de la vie. »


    En l’absence
    d’empêchements du type indiqué, le candidat à la pratique de la polygamie doit
    présenter au tribunal une demande d’autorisation à cet effet. La demande doit
    indiquer les motifs objectifs et exceptionnels justifiant la polygamie et doit
    être assortie d’une déclaration sur la situation matérielle du demandeur.


    Le tribunal convoque
    la première femme en vue de l’informer du désir de son mari de prendre une
    nouvelle femme. Il entend la femme et son mari. Il peut ensuite autoriser le mari
    à prendre une nouvelle femme, si les motifs invoqués par ce dernier revêtent un
    caractère objectif et exceptionnel et si la demande remplit toutes les
    conditions légales qui lui sont attachées. Si la première femme n’est pas
    d’accord sur cette décision, elle peut demander le divorce. Le tribunal fixe un
    montant correspondant à tous les droits de l’épouse et de leurs enfants que
    l’époux a l’obligation d’entretenir. L’époux doit consigner la somme fixée dans
    les sept jours. Une fois cela fait, le tribunal prononce un jugement de divorce


    (45) Abdul Mohsen
    al-Obeikan, « Interview au quotidien « Asharq alawsat » du
    09/07/2006, à propos de la valeur juridique d’une fatwa de l’Académie Islamique
    du Fiqh (AIF) »


    (46) Ahmed Khamlichi,
    « Point de vue n° 4 » (en arabe), Rabat, 2002, p. 12


    (47) Allal el Fassi, “Annaqd addhati” (L’Autocritique), 5è éd. Rabat, 1979, pp. 287-294 ; et
    “Attaqrib, Charh moudawanat al ahwal al chakhssiya” (Le rapprochement :
    explication du Code de Statut Personnel), 2è éd. Rabat, 2000, pp. 178-193


    (48) Bangladesh, High
    Court Division, Elias v Jesmin Sultana, 51 DLR (AD) (1999), cité dans WLUML,
    Knowing our rights, p. 208 (49) Par exemple, la charia interdit-elle à la femme
    de conduire un véhicule, comme l’ont affirmé pendant les deux dernières
    décennies les autorités politiques saoudiennes, sur la base d’une fatwa du
    Grand Mufti du pays ? (Voir Khalid Chraibi, « La charia et les droits
    de la femme au 21è siècle », Oumma.com, 11 mars 2008)


    (50) Les révisions
    importantes dont les codes de statut personnel d’Egypte (2000), de Mauritanie
    (2001), du Maroc (2004) et d’Algérie (2005), entre autres, ont fait l’objet ces
    dernières années, illustrent cette proposition.


    (51) Yusuf
    al-Qaradawi, « Chari’at al-Islam, khouloudouha wa salahouha littatbeq fi
    koulli zamanin wa makan » (Le droit musulman, sa pérennité et sa capacité
    d’application en tous temps et en tous lieux), al-maktab al-Islami, Beyrouth,
    4è éd., 1987


    Ouvrages
    utilisés



    « Le
    Coran », Traduction par Jacques Berque, Edition de poche, Albin Michel,
    Paris, 2002


    Muhammad Abduh,
    “al-A’mal al kamila” (Oeuvres complètes) tomes 1 et 2, 1ère éd. Beyrouth (1972)


    Abdullahi A.
    An-Na’im, ed., “Islamic Family Law in a changing world”, London, Zed Books,
    2002


    Abdel Nasser
    Tawfiq al-’Attar, « ta’addud al-zawjat fi al-charia al-islamiya » (La
    polygamie en droit musulman), 5è éd., Le Caire, 1988


    Gamal A. Badawi,
    « Polygamy in Islamic law »


    Mohamed Chafi, “La
    polygamie”, Marrakech, 2000


    Alya Chérif Chamari,
    “La femme et la loi en Tunisie”, Ed. Le Fennec, Casablanca, 1991


    Mounira
    M. Charrad, “States and women’s rights – The making of postcolonial
    Tunisia, Algeria and Morocco”, U. of California Press, Berkeley, 2001


    Eric Chaumont, article
    “Polygamie”, Dictionnaire du Coran, Robert Laffont, Bouquins, Paris, 2007


    Collectif 95
    Maghreb-Egalité : “Cent mesures et dispositions pour une codification
    égalitaire des Codes de Statut Personnel”, 1995


    Collectif 95
    Maghreb-Egalité : “Dalil (guide) de l’égalité dans la famille au Maghreb”,
    2003


    Khalid Chraibi,
    « Droits de la femme en Islam : la stratégie des meilleures
    pratiques », Oumma.com, 6 et 20 mars 2009


    Khalid Chraibi,
    « La charia et les droits de la femme au 21è siècle », Oumma.com, 11
    mars 2008


    Allal el Fassi, “Annaqd addhati” (L’Autocritique), 5è éd. Rabat, 1979


    Allal el Fassi,
    “Attaqrib, Charh moudawanat al ahwal al chakhssiya” (Le rapprochement :
    explication du Code de Statut Personnel), 2è éd. Rabat, 2000 Tahar el Haddad,
    “Notre femme dans la religion et la société”, 1930, Maison tunisienne
    d’édition, Tunis, 1970


    Riffat Hassan,
    “al-Islam wa huquq al mar’a” (L’Islam et les droits de la femme), Casablanca,
    2000


    Ahmed Khamlichi,
    « Point de vue n° 4 » (en arabe), Rabat, 2002


    Ahmed Khamlichi,
    “Charh moudawanat al ahwal ach-chakhssiya” (Explication de la moudawana de
    Statut Personnel), t1, 3è éd., Casablanca, 1994 Mohamed Lejmi, « Le droit
    de la famille », Tunis, 2008


    Mortada Motahari, “Les
    droits de la femme en Islam”, Ed. Al Bouraq, Casablanca, 2000


    Musawah
    website : “Home Truths report”, 2009


    Yusuf al-Qaradawi,
    « Chari’at al-Islam, khouloudouha wa salahouha littatbeq fi koulli zamanin
    wa makan » (Le droit musulman, sa pérennité et sa capacité d’application
    en tous temps et en tous lieux), al-maktab al-Islami, Beyrouth, 4è éd., 1987


    Yusuf al-Qaradawi,
    « Assahwa al_Islamiya » (Le renouveau islamique), Le Caire, 1991


    Rand Corporation and
    Woodrow Wilson International Center for Scholars, ““Best practices” Progressive
    family laws in Muslim countries”, 2005 Royaume du Maroc, Ministère de la
    Justice, « Code de la Famille », Rabat, 2004


    Royaume du Maroc,
    Ministère de la Justice, « Guide pratique du code de la famille »,
    Rabat, 2007


    Sisters in
    Islam, (SIS), Malaysia, article on Polygamy


    Sisters in
    Islam, (SIS), Malaysia, Reform of the Islamic family laws on Polygamy, 11
    December 1996, a memorandum to the Malaysian authorities Sisters In Islam
    (SIS) : “Best practices in family law” Mahmud Shaltut, “al Islam, ’Aqeda
    wa shariah”, (L’islam, dogme et charia), 9è éd., Beyrouth, 1977


    Women Learning
    Partnership (WLP)
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    Message  Admin Sam Aoû 15, 2009 4:28 am

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    Message  Admin Mer Juil 15, 2009 8:40 am

    ▪️ Le plus noble d'entre vous, au yeux de Dieu, c'est le plus pieux. Gens, votre Maître est Un, votre Père (Adam) est Un ; oui, un arabe n'a pas plus de mérite qu'un non arabe et inversement, un blanc n'a pas plus de mérite qu'un noir et inversement, sinon par la piété.
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    Message  Admin Sam Juil 04, 2009 4:16 am

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    Message  Admin Ven Juil 03, 2009 7:46 am

    2 - L'Islam intentionnel ou participation consciente à cette soumission, ce “oui” à Dieu, à sa Vérité et à son unité que toute chose manifeste. Cette participation se traduit par une conformité rituelle et morale à une Doctrine sacrée. C'est pourquoi, il est écrit : “Certes, la religion chez Dieu, est l'Islam (la soumission)” (Coran III, 19) et “Arrivez à vos demeures par vos portes” (Coran II, 89). De même Jésus avait dit : “Nul n'arrive au Père que par moi”. Refuser les voies divines, c'est s'exposer à la noyade. Que penser d'un homme à qui l'on offre une bonne embarcation pour traverser la rive s'il part à la nage ou dans une coque endommagée ?
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    Message  Admin Dim Juin 28, 2009 6:19 am

    Que signifie le terme “Islam

    Islam, dont la racine est “Paix”, signifie s'en remettre à Dieu. Etre musulman ou “soumis”, c'est s'abandonner dans une adoration sincère à la volonté divine conformément à la nature originelle. C'est pour toute existence suivre sa raison d'être.

    1 - L'Islam naturel. Qu'on le veuille ou non, rien n'échappant à la Puissance divine et à sa Volonté, tout le cosmos, le moindre atome, du minéral à l'homme, des cieux visibles aux cieux invisibles, tout est musulman : c'est la conformité nécessaire de toutes choses à leur Cause ontologique.

    “Tous les êtres peuplant les cieux et la terre se prosternent bon gré mal gré devant Dieu, jusqu'à leurs ombres qui s'inclinent devant Lui matin et soir!” (Coran XIII, 15), “Ceux qui peuplent les cieux et la terre Lui appartiennent. Tous Lui sont entièrement soumis” (Coran XXX, 26)
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    Message  Admin Ven Juin 19, 2009 6:05 am

    ▪️ Ne vous détestez pas, ne vous jalousez pas, ne vous tournez pas le dos, soyez, ô serviteurs de Dieu, frères.
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    Message  Admin Ven Juin 19, 2009 6:04 am

    Ce qui distingue l’homme des autres animaux est la connaissance, ce par quoi il est éminent. Comme dit Ghazâli, l’homme n’est pas éminent « par sa force, le chameau est plus fort que lui ; ni par son énormité, l’éléphant est plus énorme que lui ; ni par son courage, le lion est plus courageux que lui , ni par sa voracité, le taureau à un estomac plus large que le sien ; ni pas sa puissance dans l’accouplement, le plus petit des oiseaux est plus puissant dans ce domaine », mais par sa sagesse.
    Le cœur de l’homme ne peut vivre sans cette nourriture, à l’instar de son corps qui ne peut se passer de manger. Ainsi, «celui qui est privé de Savoir a le cœur malade et sa mort est fatale mais il n’en a pas conscience. Car son amour du monde dont il fait son principal souci infirme sa sensibilité de même que vaincre la peur annihile la douleur sur le moment même si cette douleur provient d’une blessure réelle. »
    El Ghazali
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    Message  Admin Ven Juin 12, 2009 12:50 am

    Le nom Muhammad, qualificatif de Ahmad, signifie « Le Glorifié », celui en lequel est célébrée la Louange divine qui se propage providentiellement à tous les membres de la communauté humaine, comme le soleil propage ses rayons. Ainsi le Prophète est lumière pour les coeurs, comme le soleil pour les yeux et c'est cette lumière qui nous guide auprès de Dieu. C'est en apprenant à aimer la lumière du Prophète -qui est Lumière de Dieu- que l'on gagne l'Amour de Dieu.

    « Et Nous ne t'avons envoyé qu'en miséricorde pour l'univers » (Coran, XXI, 107)
    « Dis : Ô vous les croyants, si vous aimez Dieu, suivez-moi et Dieu vous aimera et vous pardonnera. » (Coran, III, 31)
    « Ceux qui font le pacte avec toi, en vérité c'est avec Dieu qu'ils font le pacte » (Coran, XVIII, 10)
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    Message  Admin Mer Mai 13, 2009 8:11 am

    Nadia Yassine : « Nous revendiquons le droit de participer à l’ijtihad »
    Au sommaire d’OummaTV, un entretien avec Nadia Yassine, la femme politique la plus emblématique du Maroc, porte-parole du principal mouvement de l’opposition « Justice et Liberté » fondé par son père, Cheikh Abdesslam Yassine. Nadia Yassine évoque la vocation et les aspirations profondes de l’école de pensée rénovatrice qu’elle dirige, revient sur les courageux combats qu’elle mène depuis plusieurs années, tout en nous éclairant de sa propre vision sur le « féminisme musulman » et la place de la femme au cœur de la société.
    Voir la vidéo...
    http://www.oummatv.tv/Nadia-Yassine-Nous-revendiquons-le
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    Message  Admin Mar Mai 12, 2009 9:21 am

    L’aspect qualitatif du Prophète (saws) se retrouve dans ses noms, dont en voici quelques-uns mentionnés dans le Coran et les hadiths :

    Muhammad (le Loué) ; Ahmad (le Plus Digne de louange) ; Hâmid (le Dispensateur de louanges et de remerciements) ; Ar-Rasûl (l'Envoyé) ; An-Nabî (le Prophète) ; Shâhid (le Témoin) ; Rashîd (le Droit) ; Bashîr (l’Annonciateur de bonnes nouvelles) ; Nadhîr (l’Avertisseur) ; Dâ`î (Celui qui appelle à Dieu / qui fait appel à Dieu) ; Hâdi (le Guide) ; Mâhî (celui par qui Dieu efface le mal et la mécréance) ; Fâtih (le Conquérant) ; Râ’ûf (compatissant) ; Rahîm (miséricordieux) ; Mujtabâ (Celui qui a été choisi) ; Mustafâ (l’Élu) ; Murtadâ (L’Agréé) ; As-Sâdiq (le véridique) ; Al-Amîn (le loyal) ; Musaddiq (Preuve de la vérité) ; Habîbullâh (l’Aimé se Dieu) ; Safiyyullâh (Celui que Dieu a choisi) ; Najiyyullâh (le Protégé de Dieu) ; Shakûr (Le très reconnaissant) ; Karîm (généreux) ; Hakîm (sage) ; Sayyid (le maître) ; Sirâj Munîr (luminaire rayonnant) ; Jawâd (très Généreux) ; `Âdil (Juste) et Khâtam Ar-Rusul (le Sceau des Envoyés).


    Dernière édition par Admin le Lun Jan 30, 2012 6:57 am, édité 3 fois

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