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ALADIN- date d'inscription : 11/05/2009
- Message n°76
Passeport biométrique,.... suite
40 demandes d’actes 12 S traités par jour
Près de cent documents n’ont pas été retirés par les citoyens concernés, ce qui perturbe la bonne marche du service encadré par dix agents.
Le nouveau bureau ouvert pour la délivrance de l’extrait de naissance 12 S, une pièce exigée pour la constitution du dossier de passeport biométrique, enregistre, une semaine après sa mise en service, en moyenne 40 demandes par jour. Le délai de retrait est fixé à 24 heures après la demande formulée par l’intéressé lui-même sur présentation de son passeport arrivé à expiration. Les demandes sont réceptionnées uniquement la matinée, signale-t-on. Cependant, pour la responsable du service, si toutes les dispositions matérielles et humaines ont été mobilisées pour répondre et accueillir dans de meilleures conditions les citoyens, certains demandeurs ne se présentent pas le jour convenu pour procéder au retrait de cette pièce.
« Cette situation s’est traduite par une accumulation d’extraits de naissance 12 S dans le guichet ouvert spécialement l’après-midi pour le retrait », a déploré cette responsable en indiquant que près de cent pièces n’ont pas été retirées par les citoyens concernés, ce qui perturbe la bonne marche du service encadré par dix agents. D’ailleurs, pour traiter avec célérité les demandes, dix micro-ordinateurs équipent ce nouveau bureau ouvert dans les locaux du service de l’Etat Civil Central, localisé à proximité du siège de l’Hôtel de Ville. L’extrait de naissance 12 S n’est délivré qu’une seule fois, rappelle-t-on. Il est remis uniquement à l’intéressé après avoir été signé par le président de l’APC
Par [url=mailto://]Abdallah Bendenia[/url]
ALADIN- date d'inscription : 11/05/2009
- Message n°77
le parcours du combatant,
Passeport et carte d’identité biométriques :
Stupeur et consternation des citoyens
La nécessité de fournir le nom de ses anciens camarades de
classes primaires ainsi que leurs coordonnées répond-elle à un souci de
« sécurité »
Ce n’est rien de moins que du flicage
en bonne et due forme ! A quoi peut bien leur servir de savoir avec qui
j’ai effectué mes classes ou mon service militaire ! », s’indigne un
retraité devant l’enceinte de la daïra de Hussein Dey, l’une des quinze
daïras pilotes sélectionnées afin de débuter la délivrance des
« papiers » biométriques. D’ailleurs, la confusion la plus totale
régnait, hier, parmi les citoyens agglutinés autour de l’entrée de la
structure. Et pour cause : ils découvrent les imprimés à renseigner et
la liste de documents à fournir afin de se faire établir une carte
nationale ou un passeport biométriques.
Le contenu du dossier à remettre aura assurément provoqué la stupeur et
la consternation, voire même l’ire de nombre d’Algériens. Les treize
pages de formulaire à remplir, obligatoirement dans les deux langues,
arabe et française, exigent du demandeur une foultitude de
renseignements, certains « classiques », d’autres pour le moins
inattendus. Et ce, en sus de douze différentes pièces qui constituent le
dossier à déposer et sans compter la présence exigée d’un répondant.
« A mon âge, je suis obligé de me faire accompagner d’un voisin ou d’un
ami, afin qu’il témoigne que je suis bien moi ! Ce qui veut dire que
nous sommes d’éternels mineurs et que nous avons besoin, Ad vitam
æternam, d’un tuteur », s’énerve le sexagénaire. « Ce n’est pas une
question de tutorat ou autre, rétorque la chef de projet de la daïra,
cela est lié à la sécurité et la sécurisation de la banque de données
des identités. » En présentant une tierce personne chargée d’attester de
la conformité de l’identité du demandeur, « cela évite toute
usurpation », justifie-t-elle. « Avec l’ancien système, rien n’empêche
quelqu’un de subtiliser les actes de naissance et autres papiers d’une
quelconque personne et de se faire établir une carte nationale au nom de
celle-ci, avec sa propre photo », explique la responsable.
La nécessité de fournir le nom de ses anciens camarades de classes
primaires ainsi que leurs coordonnées répond-elle au même souci de
« sécurité » ?
Au bout d’un temps de réflexion, la chef de projet répond : « Mais non,
ce type de renseignement est facultatif. Il est évident que nous
n’allons pas demander à une personne âgée de 80 ans de donner ces
détails. » En ce qui concerne les plus jeunes, que l’on ne saurait
soupçonner de « perte de mémoire », la responsable avoue ne pas savoir
avec exactitude l’obligation ou non de satisfaire à cette requête.
Les citoyens dans l’ignorance
« Il est vrai que cela peut faire peur, mais nous nous y habituerons.
D’ailleurs, pour les seules journées de dimanche et lundi, ce sont près
de 319 retraits de formulaire qui ont été effectués et 9 demandeurs ont
d’ores et déjà pris rendez-vous afin de déposer leur dossier », assure
la responsable qui ajoute avec un sourire confiant : « Toutes les
structures ont bien été préparées et les citoyens ont bien été
informés. »
Toutefois, il semblerait que les campagnes d’information quant à
l’introduction de ces nouvelles pièces d’identité n’aient pas porté
leurs fruits tant peu nombreux sont ceux à en avoir entendu parler et
encore moins à en connaître les détails. « Je suis venu hier afin de
renouveler ma carte nationale. On m’a dit qu’il manquait à mon dossier
une déclaration de perte. Je suis revenu avec ce document et quelle fut
ma surprise de m’entendre dire "non, aujourd’hui, il y a une nouvelle
loi, vous devez ramener tous ces documents et remplir ce formulaire" »,
raconte, exaspéré, un jeune homme. « Comme si les complications ne
manquaient pas ! », peste un trentenaire venu renouveler son passeport.
« Se faire établir un quelconque document est un véritable calvaire qui
nécessite la mobilisation du concerné pour toute une journée, parfois
plus. Dorénavant, nous serons dans l’obligation de courir d’une
administration à une autre durant une semaine », présage, pessimiste, le
fonctionnaire.
Et cette approximation, qui pourrait paraître exagérée, n’est pas très
loin de la vérité. « Afin d’établir tous les papiers et de prendre
rendez-vous, cela prendra seulement quatre à cinq jours », estime la
chef de projet au sein de la daïra de Hussein Dey. Pour rappel, les
Algériens ont jusqu’à novembre 2015 pour se conformer à cette nouvelle
exigence.
Par Ghania Lassal
Admin- Admin
- date d'inscription : 10/05/2009
feuille de personnage
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- Message n°78
Re: .News,...Informations,.....Actualités
Oran Info >
Passeport biométrique : Mise en service d’un
bureau spécial pour l’extrait de naissance S12
Dix agents, parmi les plus expérimentés, encadrent ce service
équipé de dix micro- ordinateurs, après avoir subi un stage de
formation.
Un bureau ouvert dans les locaux de l’Etat Civil central a été (...)
Passeport biométrique : Mise en service d’un
bureau spécial pour l’extrait de naissance S12
Dix agents, parmi les plus expérimentés, encadrent ce service
équipé de dix micro- ordinateurs, après avoir subi un stage de
formation.
Un bureau ouvert dans les locaux de l’Etat Civil central a été (...)
Admin- Admin
- date d'inscription : 10/05/2009
localité : Cyber Town
feuille de personnage
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- Message n°79
Re: .News,...Informations,.....Actualités
Le tourisme jette les bases de son essor : 431
projets d’hôtels en deux ans
Plusieurs
opérateurs nationaux ont décidé d’investir dans l’hôtellerie et les structures
d’accueil. Cherif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire, de
l’Environnement et du Tourisme, l’a clairement mis en exergue, hier, à Alger,
lors de la signature de contrats de réalisation de 28 projets d’hôtels qui ont
reçu le feu vert du ministère. Ils sont d’une capacité de 2494 lits et
permettront la création de 3741 emplois. Ces projets sont répartis à travers
quatre pôles d’excellence touristiques : 9 au nord-est, 8 au nord-centre,
7 au nord-ouest et 4 au sud, au Touat Gourara.
Cette
sixième opération vient ainsi s’ajouter aux cinq précédentes, concrétisées
depuis janvier 2008 pour la réalisation de 403 projets touristiques pour un
total de près de 38 882 lits devant générer la création d’un total de 58 323
emplois. Avec cet apport, le nombre total de projets est ..............
http://www.elwatan.com/Le-tourisme-jette-les-bases-de-son
projets d’hôtels en deux ans
Plusieurs
opérateurs nationaux ont décidé d’investir dans l’hôtellerie et les structures
d’accueil. Cherif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire, de
l’Environnement et du Tourisme, l’a clairement mis en exergue, hier, à Alger,
lors de la signature de contrats de réalisation de 28 projets d’hôtels qui ont
reçu le feu vert du ministère. Ils sont d’une capacité de 2494 lits et
permettront la création de 3741 emplois. Ces projets sont répartis à travers
quatre pôles d’excellence touristiques : 9 au nord-est, 8 au nord-centre,
7 au nord-ouest et 4 au sud, au Touat Gourara.
Cette
sixième opération vient ainsi s’ajouter aux cinq précédentes, concrétisées
depuis janvier 2008 pour la réalisation de 403 projets touristiques pour un
total de près de 38 882 lits devant générer la création d’un total de 58 323
emplois. Avec cet apport, le nombre total de projets est ..............
http://www.elwatan.com/Le-tourisme-jette-les-bases-de-son
ALADIN- anniversaire : 01/01/1913
date d'inscription : 11/05/2009
age : 111
localité : la terre
Le département d’Etat américain a rendu public, jeudi dernier, son rapport annuel sur la situation des droits de l’homme dans le monde. Concernant l’Algérie, outre la difficulté soulignée pour obtenir des informations précises et dignes de foi sur le terrorisme, le rapport du Département d’Etat est émaillé de chiffres. On apprend par exemple que 1000 terroristes auraient été tués ou arrêtés durant la seule année 2009, selon un bilan non officiel établi par la presse algérienne. De leur côté, les terroristes auraient tué 99 civils et 69 éléments appartenant aux forces de l’ordre. Le département d’Etat attribue la majorité des assassinats à l’organisation terroriste Al Qaîda au Maghreb qui a vu le jour en janvier 2007. S’agissant de la torture, le rapport explique, que bien que les lois algériennes interdisent de recourir systématiquement à cette pratique, celle-ci continue néanmoins d’être utilisée, en vue notamment d’obtenir des informations d’ordre sécuritaire ou stratégique de la part des terroristes capturés. Il signale en revanche que des policiers ont été condamnés à de lourdes peines, allant jusqu’à 12 ans de prison par le tribunal de Blida, pour avoir usé de la torture à l’égard de citoyens à l’aide d’un instrument électrique « Taser » pour leur faire avouer leur implication dans le vol d’un car. Le rapport consacre également une large place à la situation de la presse en Algérie. Tout en soulignant encore une fois l’inféodation des médias publics au pouvoir politique, il met à nouveau en exergue les pressions auxquelles est soumise la presse privée. Le journal El Watan et son directeur de publication Omar Belhouchet sont les plus cités pour le pointage de l’état critique dans lequel se débat la profession. Harcèlement judiciaire, condamnations à des peines fermes et payement de fortes amendes financières, tous les moyens sont bons pour faire taire les quelques voix discordantes et contestataires qui restent encore dans le pays, d’après le Département d’Etat. Le rapport évoque aussi des difficultés que rencontrent les associations de la société civile pour s’exprimer, notamment dans un climat où l’état d’urgence est toujours en vigueur. Détentions préventives, censures, corruption Une situation instituée en 1992 qui ouvre la voie à tous les excès et dépassements. Le rapport du Département d’Etat relève également les conditions de détention qui « ne répondent pas aux normes internationales ». Il qualifie le surpeuplement des prisons de « problème préoccupant ». S’il note le recul de l’arrestation et de la détention arbitraire, le rapport fait état de l’abus dans l’application de la détention préventive. Une pratique courante qui « ternit l’image du système judiciaire ». Cette mesure exceptionnelle, comme souligne le rapport, s’abat sur les personnes soupçonnées d’être impliquées dans des affaires liées au terrorisme. En 2008, indique le rapport, 13% des prisonniers étaient en détention provisoire. En termes de liberté d’écriture, le rapport relève la censure de plusieurs livres, notamment lors du Salon du livre d’Alger de 2009, tels que Le Village de l’Allemand, de Boualem Sansal et Poutakhine de Mehdi El Djezaïri. Aussi, il est souligné que le gouvernement a poursuivi les restrictions de la couverture des médias internationaux des questions relatives à la sécurité nationale et le terrorisme. Si l’accès à Internet est « généralement libre », le rapport relève des restrictions exercées sur certains programmes et forums ainsi que la surveillance stricte des e-mail. Il rappelle dans ce sens l’adoption d’une nouvelle loi sur la cybercriminalité qui établit des procédures contraignantes pour les utilisateurs des données électroniques. Si la Constitution la garantit, la liberté de réunion et d’association est « strictement limitée ». « La Constitution prévoit le droit de réunion, mais le décret d’urgence et de la pratique du gouvernement ont continué à restreindre ce droit », est-il souligné. Le rapport dénonce également l’interdiction de sortie des élus locaux et régionaux sans autorisation du ministère de l’Intérieur. Sur le plan des libertés syndicales, le rapport n’est pas moins critique, faisant référence à l’empêchement de sit-in organisés par des enseignants contractuels à Alger. Le rapport fait état également des restrictions exercées sur la liberté de culte autre que musulman. Les conditions peu transparentes dans lesquelles s’est déroulée la dernière élection présidentielle de 2009 ont été également soulevées dans le rapport qui évoque les contradictions entre les déclarations officielles et celles des partis de l’opposition dénonçant les « pratiques frauduleuses » toujours en vigueur. La question du refus de donner l’agrément à certaines formations politiques a été évoquée. Concernant la lutte contre la corruption, le rapport relève l’étendue du phénomène qui touche plusieurs grandes opérations d’octroi de marchés publics. « Pour les appels d’offres publics, précise le rapport, les évaluations n’ont pas été remises aux entreprises participantes et les méthodes et techniques d’évaluation ne sont pas clairement définies. » Parmi les affaires de corruption évoquées dans le rapport, il y a celle concernant l’autoroute Est-Ouest. Ce même rapport dénonce l’absence de l’accès libre à l’information concernant les dossiers de corruption. Force est de constater qu’il n’a pas dit un seul mot sur l’état des libertés aux Etats-Unis ni sur les scandales qui ont ébranlé la prison de Guantanamo ces deux dernières années.
Par Yacine Farah- el Watan ,14-03-2010
Par Yacine Farah- el Watan ,14-03-2010
Admin- Admin
- date d'inscription : 10/05/2009
localité : Cyber Town
feuille de personnage
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- Message n°81
contre la cyber-censure
Journée mondiale contre la cyber-censure
Publié le 12 mars 2010
World Day Against Cyber Censorship
اليوم العالمي لمكافحة الرقابة الإلكترونية
Le 12 mars 2010, Reporters sans frontières célébre la
Journée mondiale contre la cyber-censure. Cette journée est destinée à
mobiliser chacun d’entre nous en soutien à un seul Internet, libre et
accessible à tous. Et de rappeler qu’en créant de nouveaux espaces
d’échanges d’idées et d’informations, le Net est aussi un vecteur de
libertés. Cependant, de plus en plus de gouvernements l’ont compris et
réagissent en tentant de contrôler la Toile.
À cette occasion, Reporters sans frontières publie une nouvelle liste des "Ennemis d’Internet".
Ce rapport montre du doigt les principaux pays qui restreignent l’accès
de leurs citoyens à Internet, et harcèlent les net-citoyens, de l,,,,,,,,,,,...........
http://www.rsf.org/Journee-mondiale-contre-la-cyber.html
Publié le 12 mars 2010
World Day Against Cyber Censorship
اليوم العالمي لمكافحة الرقابة الإلكترونية
Le 12 mars 2010, Reporters sans frontières célébre la
Journée mondiale contre la cyber-censure. Cette journée est destinée à
mobiliser chacun d’entre nous en soutien à un seul Internet, libre et
accessible à tous. Et de rappeler qu’en créant de nouveaux espaces
d’échanges d’idées et d’informations, le Net est aussi un vecteur de
libertés. Cependant, de plus en plus de gouvernements l’ont compris et
réagissent en tentant de contrôler la Toile.
À cette occasion, Reporters sans frontières publie une nouvelle liste des "Ennemis d’Internet".
Ce rapport montre du doigt les principaux pays qui restreignent l’accès
de leurs citoyens à Internet, et harcèlent les net-citoyens, de l,,,,,,,,,,,...........
http://www.rsf.org/Journee-mondiale-contre-la-cyber.html
ALADIN- anniversaire : 01/01/1913
date d'inscription : 11/05/2009
age : 111
localité : la terre
Ce qu’il faut savoir pour demander un passeport biométrique
Vous
demandez un passeport pour la première fois ou renouvelez celui qui
expire ? Attention : à partir du 1er avril, les démarches seront un peu
chamboulées pour délivrer les nouveaux passeports biométriques. Pas de
panique, tout est déjà prévu.
Le dépôt du dossier se fait… sur rendez-vous !
Le dépôt s’effectuera à partir du 1er avril si votre passeport
expire dans six mois ou si vous n’en avez jamais eu. Nouveauté : le
dépôt de dossier se fera sur rendez-vous, selon la même procédure
opérée pour le visa France. Pour cela, vous devrez prendre rendez-vous
sur le Net, sur www.interieur.gov.dz ou en appelant un numéro spécial auprès des daïras qui sera bientôt connu.
Attention, de nouvelles pièces dans le dossier !
*Vous devez commencer par récupérer un formulaire, soit en
l’imprimant depuis le site Internet du ministère de l’Intérieur à
partir d’avril, soit en le retirant au niveau de chaque daïra, il est
question d’installer des bureaux spéciaux à cet effet. Un conseil :
remplissez le formulaire chez vous, car il comprend 6 à 8 pages,
obligatoirement à remplir en deux langues (arabe et français).
*L’autre pièce maîtresse du dossier, c’est l’extrait de naissance
n° 12 biométrique qui sera disponible d’ici le mois d’avril ou avant,
certaines APC étant déjà prêtes à délivrer cet extrait de naissance.
*Le certificat de nationalité à retirer auprès du tribunal est
également exigé ainsi que toutes les pièces demandées pour établir
l’ancien passeport (timbre fiscal, quatre photos d’identité, résidence,
fiche individuelle ou familiale …).
*Un timbre fiscal de 2000 DA
*4 photos d’identité
*Si vous procédez à un renouvellement, se munir de l’ancien passeport.
*Si vous en demandez un pour la première fois, ajoutez un certificat
de résidence et une fiche individuelle ou familiale d’état civil.
Le jour J, vous passerez… par quatre bureaux
Une fois le rendez-vous fixé, vous serez reçu à la daïra au bureau
de contrôle pour une petite saisie (nom, prénom, nom du père…), pour
scanner votre extrait de naissance biométrique et remplir ainsi votre
puce biométrique. Il faut savoir que pour le prochain renouvellement,
l’extrait de naissance biométrique ne sera plus demandé, car il sera
déjà saisi dans sa puce. Ensuite, vous serez reçu dans un deuxième
bureau de saisie générale. C’est là où on vérifiera tous les détails de
votre dossier : nationalité, service militaire… Troisième étape : le
bureau de certification. En attendant la validation finale accompagnée
d’une griffe sécurisée de votre dossier, vous patientez dans la salle
d’attente. Enfin, vous terminerez le parcours dans un quatrième bureau
pour signature électronique et prise des empreintes. La nouveauté c’est
que la signature est désormais incluse dans le dossier et ne se fera
plus lors du retrait, comme maintenant. Pour des raisons sécuritaires,
vous serez même pris en photo dans ce bureau (en plus de celles que
vous apportez).
Avant de le retirer, comptez… un mois et demi
Pendant ce temps, une fiche de police est envoyée pour enquête de
police. Les données reçues par la daïra seront transférées au Centre
national de biométrie d’El Hamiz pour établir le passeport. Comme pour
le visa, vous allez recevoir un appel des services de la daïra qui vous
dira à partir de quand votre passeport sera prêt. Comptez un mois et
demi. Si vous vous impatientez, vous pouvez appeler le numéro spécial
pour prendre connaissance de l’avancement de traitement de son dossier.
Autrement dit : pas la peine de se déplacer, les services de daïra
feront tout pour limiter le flux des demandeurs dans les bureaux.
el watan
Par [url=mailto://]Nassima Oulebsir [/url]
ALADIN- anniversaire : 01/01/1913
date d'inscription : 11/05/2009
age : 111
localité : la terre
- Message n°83
Condamné pour avoir signé une pétition
Atteintes aux libertés : Condamné pour avoir signé une pétition
Désormais,
il faut bien mesurer les conséquences de son acte avant de s’engager et signer
une pétition, cela peut se retourner contre vous.
Lors de sa session du 28 janvier dernier, le tribunal de Merouana près la cour de Batna a
condamné Abdallah Boucetta, ressortissant algérien établi au Canada, à une
année de prison ferme pour dénonciation calomnieuse et provocation de
regroupement non armé par écrit. Boucetta était poursuivi lui et un autre
citoyen pour avoir signé une pétition alors que les 73 signataires restant
étaient cités comme témoins. Les faits : quand Abdallah est rentré au
pays, l’été dernier, il ne se doutait sans doute pas qu’un tel scénario pouvait
lui arriver. Mais voilà, un crime crapuleux est commis dans la ville de
Merouana (40 km de Batna) faisant monter la colère des habitants contre le
règne de l’insécurité et le peu d’entrain des autorités dans la lutte contre ce
fléau.
Boucetta se joint aux pétitionnaires qui, s’adressant au P/APC, lui demandent d’intervenir
et « prendre les dispositions adéquates afin de mettre fin à une situation
d’insécurité qui n’a pas d’égal ailleurs ». Dans leur requête chargée
d’une profonde inquiétude, les signataires n’hésitent pas à écorcher la police
locale, jugée nonchalante et peu coopérative. Mais l’acte citoyen s’est
retourné contre ses initiateurs. La police, au lieu de tendre l’oreille au cri
sincère de la population, a réagi en intentant une action en justice contre
eux.
Cela dit, la majorité des signataires est sortie indemne, puisque citée seulement pour
témoigner alors que deux citoyens sont poursuivis pour les chefs d’inculpation
sus-cités. La justice finit par acquitter l’un alors que l’autre, en
l’occurrence Abdallah Boucetta, jugé par défaut, se retrouve seul condamné.
Dans le fond, rien ne semble expliquer cette issue du procès ni le procès
lui-même d’ailleurs. Sur la forme, plusieurs irrégularités aussi crientes les
unes que les autres émaillent l’affaire Boucetta. A commencer par le fait que
la police de Merouana s’est autosaisie sur la base d’une plainte alors qu’il
s’agit d’une pétition et dont la sûreté de daïra n’a pas été destinataire
justement, contrairement à ce qui est porté sur le document du jugement dont
nous détenons une copie.
L’autre zone d’ombre de ce jugement réside dans le fait que Boucetta est accusé d’avoir
commis des infractions en date du 15 août 2009. Or, l’accusé a quitté le
territoire national le 14 août, le cachet de la police des frontières, à
l’aéroport Houari Boumediène faisant foi. M. Boucetta, choqué par la
conduite des choses, ne baisse pas les bras bien que privé de défense, étant
absent du territoire national.Sa première démarche a été de saisir Ali Tounsi,
qui, selon lui, a ordonné l’ouverture d’une enquête pour voir comment ses
éléments ont conduit cette affaire à Merouana. Des députés se sont également
emparés du dossier, ce qui augure d’une politisation du cas Boucetta.
Par Nouri Nesrouche
El watan
Désormais,
il faut bien mesurer les conséquences de son acte avant de s’engager et signer
une pétition, cela peut se retourner contre vous.
Lors de sa session du 28 janvier dernier, le tribunal de Merouana près la cour de Batna a
condamné Abdallah Boucetta, ressortissant algérien établi au Canada, à une
année de prison ferme pour dénonciation calomnieuse et provocation de
regroupement non armé par écrit. Boucetta était poursuivi lui et un autre
citoyen pour avoir signé une pétition alors que les 73 signataires restant
étaient cités comme témoins. Les faits : quand Abdallah est rentré au
pays, l’été dernier, il ne se doutait sans doute pas qu’un tel scénario pouvait
lui arriver. Mais voilà, un crime crapuleux est commis dans la ville de
Merouana (40 km de Batna) faisant monter la colère des habitants contre le
règne de l’insécurité et le peu d’entrain des autorités dans la lutte contre ce
fléau.
Boucetta se joint aux pétitionnaires qui, s’adressant au P/APC, lui demandent d’intervenir
et « prendre les dispositions adéquates afin de mettre fin à une situation
d’insécurité qui n’a pas d’égal ailleurs ». Dans leur requête chargée
d’une profonde inquiétude, les signataires n’hésitent pas à écorcher la police
locale, jugée nonchalante et peu coopérative. Mais l’acte citoyen s’est
retourné contre ses initiateurs. La police, au lieu de tendre l’oreille au cri
sincère de la population, a réagi en intentant une action en justice contre
eux.
Cela dit, la majorité des signataires est sortie indemne, puisque citée seulement pour
témoigner alors que deux citoyens sont poursuivis pour les chefs d’inculpation
sus-cités. La justice finit par acquitter l’un alors que l’autre, en
l’occurrence Abdallah Boucetta, jugé par défaut, se retrouve seul condamné.
Dans le fond, rien ne semble expliquer cette issue du procès ni le procès
lui-même d’ailleurs. Sur la forme, plusieurs irrégularités aussi crientes les
unes que les autres émaillent l’affaire Boucetta. A commencer par le fait que
la police de Merouana s’est autosaisie sur la base d’une plainte alors qu’il
s’agit d’une pétition et dont la sûreté de daïra n’a pas été destinataire
justement, contrairement à ce qui est porté sur le document du jugement dont
nous détenons une copie.
L’autre zone d’ombre de ce jugement réside dans le fait que Boucetta est accusé d’avoir
commis des infractions en date du 15 août 2009. Or, l’accusé a quitté le
territoire national le 14 août, le cachet de la police des frontières, à
l’aéroport Houari Boumediène faisant foi. M. Boucetta, choqué par la
conduite des choses, ne baisse pas les bras bien que privé de défense, étant
absent du territoire national.Sa première démarche a été de saisir Ali Tounsi,
qui, selon lui, a ordonné l’ouverture d’une enquête pour voir comment ses
éléments ont conduit cette affaire à Merouana. Des députés se sont également
emparés du dossier, ce qui augure d’une politisation du cas Boucetta.
Par Nouri Nesrouche
El watan
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- Message n°84
BIG BROTHER
La National Security Agency (NSA) a annoncé avoir participé au développement du logiciel Windows 7 de Microsoft.
Richard Schaeffer, le directeur adjoint de l’Agence chargé de la sécurité des systèmes informatiques, s’exprimait le 17 novembre 2009 devant la sous-commission Terrorisme et Sécurité de la patrie de la Commission des lois du Sénat des États-Unis.
La collaboration de la NSA et de Microsoft est un secret de polichinelle depuis l’accord judiciaire survenu entre le gouvernement des États-Unis et le géant de l’informatique. Cependant, c’est la première fois qu’il est mentionné officiellement.
En matière de sécurité informatique la question n’est pas de savoir si l’on est ou non protégé des intrusions extérieures, mais qui a les clefs. En d’autres termes, le département sécurité des systèmes d’information de la NSA est dans son rôle lorsqu’il veille à ce qu’il détienne seul les clefs de sécurité des logiciels les plus utilisés aux États-Unis. Cependant, Windows 7 est commercialisé mondialement, ouvrant ainsi des perspectives considérables à l’espionnage US.
De son côté, Microsoft a démenti que la NSA ait la possibilité d’entrer dans les logiciels Windows 7, mais la firme n’a aucun moyen de le garantir.
À ce jour, aucun État n’a interdit le logiciel Windows 7 pour protéger ses ressortissants de l’espionnage US.
Richard Schaeffer, le directeur adjoint de l’Agence chargé de la sécurité des systèmes informatiques, s’exprimait le 17 novembre 2009 devant la sous-commission Terrorisme et Sécurité de la patrie de la Commission des lois du Sénat des États-Unis.
La collaboration de la NSA et de Microsoft est un secret de polichinelle depuis l’accord judiciaire survenu entre le gouvernement des États-Unis et le géant de l’informatique. Cependant, c’est la première fois qu’il est mentionné officiellement.
En matière de sécurité informatique la question n’est pas de savoir si l’on est ou non protégé des intrusions extérieures, mais qui a les clefs. En d’autres termes, le département sécurité des systèmes d’information de la NSA est dans son rôle lorsqu’il veille à ce qu’il détienne seul les clefs de sécurité des logiciels les plus utilisés aux États-Unis. Cependant, Windows 7 est commercialisé mondialement, ouvrant ainsi des perspectives considérables à l’espionnage US.
De son côté, Microsoft a démenti que la NSA ait la possibilité d’entrer dans les logiciels Windows 7, mais la firme n’a aucun moyen de le garantir.
À ce jour, aucun État n’a interdit le logiciel Windows 7 pour protéger ses ressortissants de l’espionnage US.
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- Message n°85
Re: .News,...Informations,.....Actualités
Deux jours après la qualification pour le Mondial 2010 de l'Algérie face à l'Egypte, onze policiers égyptiens ont été blessés lors d'une manifestation vendredi matin devant l'ambassade d'Algérie au Caire.
Les manifestants égyptiens ont lancé des pierres et des bombes incendiaires sur les forces de l'ordre qui protégeaient l'accès à l'ambassade d'Algérie au Caire, blessant 11 policiers, a indiqué le ministère égyptien de l'Intérieur dans un communiqué. Quinze voitures garées dans les environs et quatre vitrines de magasins ont également été endommagées dans les heurts, a-t-on précisé de même source.
Le rassemblement aux abords de la représentation algérienne avait débuté jeudi soir, quand 150 personnes avaient brûlé des drapeaux algériens et lancé des slogans hostiles à ce pays, qui s'est qualifié mercredi pour le Mondial 2010 contre l'Egypte. Ils dénonçaient les agressions présumées de supporters égyptiens par des fans algériens à Khartoum, où était organisé le match qui a vu la victoire des "Fennecs" sur les "Pharaons" (1-0).
Source : RMC
Les manifestants égyptiens ont lancé des pierres et des bombes incendiaires sur les forces de l'ordre qui protégeaient l'accès à l'ambassade d'Algérie au Caire, blessant 11 policiers, a indiqué le ministère égyptien de l'Intérieur dans un communiqué. Quinze voitures garées dans les environs et quatre vitrines de magasins ont également été endommagées dans les heurts, a-t-on précisé de même source.
Le rassemblement aux abords de la représentation algérienne avait débuté jeudi soir, quand 150 personnes avaient brûlé des drapeaux algériens et lancé des slogans hostiles à ce pays, qui s'est qualifié mercredi pour le Mondial 2010 contre l'Egypte. Ils dénonçaient les agressions présumées de supporters égyptiens par des fans algériens à Khartoum, où était organisé le match qui a vu la victoire des "Fennecs" sur les "Pharaons" (1-0).
Source : RMC
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- Message n°86
visas gratuits
Des visas gratuits pour l’Afrique du Sud
L’ambassade d’Afrique du Sud à Alger a annoncé hier la gratuité du visa d’entrée en territoire sud-africain pour les détenteurs de tickets d’entrée aux stades durant la Coupe du monde.
L’ambassade d’Afrique du Sud à Alger a annoncé hier la gratuité du visa d’entrée en territoire sud-africain pour les détenteurs de tickets d’entrée aux stades durant la Coupe du monde.
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- Message n°87
les journées italiennes d’Oran en octobre
L’ambassade d’Italie organise les «journées italiennes d’Oran» du 4 au 7 octobre 2009. C’est un événement comportant un riche programme économique et culturel sur ce principal partenaire commercial de l’Algérie.
Durant la première journée, il y aura un briefing des directeurs des travaux publics et de l’hydraulique de la wilaya d’Oran au bénéfice des entreprises italiennes du secteur ainsi que la présentation des nouvelles technologies sans tranchées et non invasives dans le domaine du BTPH de la part de l’association italienne du domaine.
La deuxième journée, il est prévu une conférence, suivie d’un débat, sur l’arbitrage dans les rapports commerciaux, qui verra la participation de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, de la Chambre arbitrale de Milan et de la Chambre de commerce d’Oran.
Au cours de la troisième journée, il y aura une présentation sur l’énergie solaire et ses principales technologies, suivie d’une table ronde regroupant, entre autres, des sociétés italiennes et algériennes du secteur de l’énergie.
Pour le programme culturel, l’ambassade d’Italie, en collaboration avec l’Institut culturel italien à Alger, présentera lors de ces trois journées des concerts musicaux. Ces journées seront également marquées par des rencontres, des débats, une exposition et du cinéma. Le premier jour prévoit dans la matinée une série de conférences sur les rapports entre l’Algérie et l’Italie avec l’intervention de l’ambassadeur d’ Italie à Alger, du recteur de l’université d’Oran et d’autres illustres conférenciers.
Le deuxième jour, deux conférences sur la langue italienne seront présentées par le célèbre académicien de Venise, M. Paolo Balboni, et une sur la traduction en arabe de la littérature italienne par le professeur Mohamed Mamden de l’université Es-Sénia d’Oran.
L’après-midi des trois journées sera consacré à la projection, à la Cinémathèque algérienne d’Oran, de films italiens illustrant l’évolution des rapports sociaux et du couple au cours des cinq dernières décennies en Italie. Ces films seront en italien, sous-titrés en français.
Les soirées du deuxième et du troisième jour seront consacrées à la musique au Théâtre régional Abdelkader-Alloula d’Oran avec les concerts d’abord du duo d’Ambroso et Nikolova piano et chant, puis du Quartetto di Roma. A l’université Es-Sénia, il y aura une exposition «International Space Station», sur le rôle stratégique de l’industrie italienne. Elle porte sur le plus grand projet de coopération international jamais réalisé dans le domaine de l’espace. Pendant les journées d’Oran, des master class en musique classique auront lieu à l’Institut régional de formation musicale dispensés par des musiciens italiens.
Principal partenaire de l’Algérie, avec un volume d’échanges de 5,1 milliards de dollars au 1er semestre de l’année 2009, l’Italie est le deuxième client de l’Algérie en gaz et pétrole après les Etats-Unis et son troisième fournisseur essentiellement en équipements industriels, médicaments et biens agroalimentaires.
Source: Le Jeune Indépendant
Durant la première journée, il y aura un briefing des directeurs des travaux publics et de l’hydraulique de la wilaya d’Oran au bénéfice des entreprises italiennes du secteur ainsi que la présentation des nouvelles technologies sans tranchées et non invasives dans le domaine du BTPH de la part de l’association italienne du domaine.
La deuxième journée, il est prévu une conférence, suivie d’un débat, sur l’arbitrage dans les rapports commerciaux, qui verra la participation de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, de la Chambre arbitrale de Milan et de la Chambre de commerce d’Oran.
Au cours de la troisième journée, il y aura une présentation sur l’énergie solaire et ses principales technologies, suivie d’une table ronde regroupant, entre autres, des sociétés italiennes et algériennes du secteur de l’énergie.
Pour le programme culturel, l’ambassade d’Italie, en collaboration avec l’Institut culturel italien à Alger, présentera lors de ces trois journées des concerts musicaux. Ces journées seront également marquées par des rencontres, des débats, une exposition et du cinéma. Le premier jour prévoit dans la matinée une série de conférences sur les rapports entre l’Algérie et l’Italie avec l’intervention de l’ambassadeur d’ Italie à Alger, du recteur de l’université d’Oran et d’autres illustres conférenciers.
Le deuxième jour, deux conférences sur la langue italienne seront présentées par le célèbre académicien de Venise, M. Paolo Balboni, et une sur la traduction en arabe de la littérature italienne par le professeur Mohamed Mamden de l’université Es-Sénia d’Oran.
L’après-midi des trois journées sera consacré à la projection, à la Cinémathèque algérienne d’Oran, de films italiens illustrant l’évolution des rapports sociaux et du couple au cours des cinq dernières décennies en Italie. Ces films seront en italien, sous-titrés en français.
Les soirées du deuxième et du troisième jour seront consacrées à la musique au Théâtre régional Abdelkader-Alloula d’Oran avec les concerts d’abord du duo d’Ambroso et Nikolova piano et chant, puis du Quartetto di Roma. A l’université Es-Sénia, il y aura une exposition «International Space Station», sur le rôle stratégique de l’industrie italienne. Elle porte sur le plus grand projet de coopération international jamais réalisé dans le domaine de l’espace. Pendant les journées d’Oran, des master class en musique classique auront lieu à l’Institut régional de formation musicale dispensés par des musiciens italiens.
Principal partenaire de l’Algérie, avec un volume d’échanges de 5,1 milliards de dollars au 1er semestre de l’année 2009, l’Italie est le deuxième client de l’Algérie en gaz et pétrole après les Etats-Unis et son troisième fournisseur essentiellement en équipements industriels, médicaments et biens agroalimentaires.
Source: Le Jeune Indépendant
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Re: .News,...Informations,.....Actualités
La grande mosquée de Marseille sortira de terre en 2011
vendredi 6 novembre 2009
« C’est un grand jour. C’est l’acte de naissance de notre mosquée. A nous désormais de l’élever », s’est exclamé visiblement rasséréné Nourredine Cheikh, le président de l’association La mosquée de Marseille.
La cité phocéenne vient en effet de franchir une étape hautement symbolique en délivrant, par l’intermédiaire de son premier magistrat, le sénateur-maire UMP, Jean-Claude Gaudin, un permis de construire attendu avec fébrilité.
Coupant l’herbe sous le pied des farouches militants du FN, principaux détracteurs du projet, l’édile de Marseille a révisé sa propre opposition à ce chantier de très grande envergure qualifié de « mosquée cathédrale », estimant en fin statisticien de la politique qu’il était plus judicieux de satisfaire les attentes légitimes de ses 200 000 administrés de confession musulmane, soit le quart de la population locale…
Implantée dans les quartiers nords, l’imposant édifice religieux battra des records de superficie, doté de l’une des plus grandes salles de prière d’Europe qui s’étendra sur 3 500 m², permettant d’accueillir un maximum de 7 000 croyants.
Erigé tel un phare élancé de la prière, un minaret rayonnera du haut de ses 25 mètres, diffusant un faisceau lumineux pour appeler au recueillement, l’appel sonore étant uniquement perceptible à l’intérieur du bâtiment.
Seul bémol, et non des moindres : réunir les 22 millions indispensables au financement de cette réalisation architecturale majestueuse. Une perspective qui est loin de tempérer l’enthousiasme de Nourredine Cheikh, ce dernier assurant qu’une « quinzaine de pays riches nous ont assurés de leur aide ». Un soutien précieux complété par une souscription publique lancée récemment.
L’inauguration officielle est programmée pour la fête de l’Aïd en novembre 2011.
vendredi 6 novembre 2009
« C’est un grand jour. C’est l’acte de naissance de notre mosquée. A nous désormais de l’élever », s’est exclamé visiblement rasséréné Nourredine Cheikh, le président de l’association La mosquée de Marseille.
La cité phocéenne vient en effet de franchir une étape hautement symbolique en délivrant, par l’intermédiaire de son premier magistrat, le sénateur-maire UMP, Jean-Claude Gaudin, un permis de construire attendu avec fébrilité.
Coupant l’herbe sous le pied des farouches militants du FN, principaux détracteurs du projet, l’édile de Marseille a révisé sa propre opposition à ce chantier de très grande envergure qualifié de « mosquée cathédrale », estimant en fin statisticien de la politique qu’il était plus judicieux de satisfaire les attentes légitimes de ses 200 000 administrés de confession musulmane, soit le quart de la population locale…
Implantée dans les quartiers nords, l’imposant édifice religieux battra des records de superficie, doté de l’une des plus grandes salles de prière d’Europe qui s’étendra sur 3 500 m², permettant d’accueillir un maximum de 7 000 croyants.
Erigé tel un phare élancé de la prière, un minaret rayonnera du haut de ses 25 mètres, diffusant un faisceau lumineux pour appeler au recueillement, l’appel sonore étant uniquement perceptible à l’intérieur du bâtiment.
Seul bémol, et non des moindres : réunir les 22 millions indispensables au financement de cette réalisation architecturale majestueuse. Une perspective qui est loin de tempérer l’enthousiasme de Nourredine Cheikh, ce dernier assurant qu’une « quinzaine de pays riches nous ont assurés de leur aide ». Un soutien précieux complété par une souscription publique lancée récemment.
L’inauguration officielle est programmée pour la fête de l’Aïd en novembre 2011.
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Re: .News,...Informations,.....Actualités
Le Conseil français du culte musulman (CFCM) vient de communiquer sans surprise la date du 1er jour du mois de Ramadan 1430/2009 qui a été fixée au samedi 22 août . Les données astronomiques montraient en effet clairement qu’il était impossible de voir le croissant lunaire le jeudi 20 août en France, en Europe, en Asie ou au Maghreb (voir à ce sujet la vidéo de l’astrophysicien Nidhal Guessoum diffusée sur OummaTV le 14 août). En se basant sur ces mêmes données astronomiques, et dans le respect de la tradition muuslmane, Nidhal Guessoum avait logiquement déduit que le 1er jour du mois de Ramadan 1430 ne pouvait être que le samedi 22 août. Seul Dieu est Savant.
Nous vous présentons à cette occasion tous nos vœux.
Ramadan Moubarak !
L’équipe Oumma.com
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- Message n°90
Marwa assassinée parce qu’elle portait un voile
Marwa assassinée parce qu’elle portait un voile
mardi 7 juillet 2009
Marwa Sherbini, jeune maman de 32ans de confession musulmane a été victime d’un assassinat islamophobe le 1er juillet dernier à Dresde en Allemagne parce qu’elle portait un voile.
L’histoire commence l’année dernière. Marwa, une musulmane d’origine égyptienne est insultée et agressée par un homme alors qu’elle jouait avec son bébé de 2 ans dans un terrain de jeu. L’homme lui a lancé les injures de "terroriste", "islamiste", et tenta à plusieurs reprises de lui retirer son voile de force.
Après qu’une plainte ait été déposée, l’homme fut condamné à une amende de 780 euros. La peine ayant été jugée trop légère, un appel fut déposé et c’est à la cour d’appel de Dresde que l’affaire devait être rejugée mercredi dernier, le 1er juillet. Ali, le mari de Marwa et leur fils de 3 ans étaient aussi présents dans le tribunal. C’est là que tout a dégénéré, l’accusé s’est précipité sur Marwa et l’a poignardé de 18 coups de couteau en moins de 30 secondes ! Son mari a essayé de s’interposer pour protéger sa femme mais fut poignardé lui aussi.
Deux policiers accoururent en urgence sur les lieux de l’agression mais ont pris son époux pour l’agresseur (parce qu’il a bien entendu une tête d’arabe) et lui ont tiré une balle dans la jambe ! Après la confusion, l’agresseur allemand d’origine russe fut maîtrisé.
Mais Marwa est morte de ses blessures dans la cour du tribunal. Elle était enceinte au moment de sa mort ! L’enfant de 3 ans d’Ali et de Marwa fut aussi blessé. Les autorités parlent comme d’habitude de l’acte isolé d’un fou.
Le CCIF condamne de la façon la plus ferme cet acte inqualifiable qui crée une tension sans précédent entre l’Egypte où la dépouille de la défunte vient d’arriver et l’Allemagne. Le CCIF condamne aussi le fait que cette affaire ait été très peu médiatisée en Allemagne, et pas du tout dans notre pays.
Il y a de cela trois ans, le CCIF avait, à l’occasion de conférences internationales, tiré le signal d’alarme, et appelé l’attention de tous sur le risque de voir apparaitre des meurtres à caractère islamophobe en Europe et particulièrement en France. Cet avertissement avait alors été perçu comme exagéré au motif et que rien ne permettait de justifier de tels propos.
Hélas, les évènements nous donnent raison simplement parce - qu’ils sont le reflet de ce qui transparaît sur le terrain que nous occupons : l’agression d’une jeune femme musulmane et voilée à Argenteuil par un groupe de jeunes gens en avril dernier.
Et le 1er juillet, l’assassinat sauvage de Marwa, dont le seul tort était d’être musulmane et de porter le voile.
Les politiques, les gouvernements européens ont une grande part de responsabilité dans l’atmosphère délétère et hostile qui règne actuellement dans la société contre les musulmans.
Certaines déclarations, discours ont pu être compris par certains comme la disqualification d’une certaine frange de la société. C’est effectivement le cas lorsque des politiciens, des élus…traitent les musulmanes voilées de "sac de patates", lorsque certaines personnalités qualifient les femmes portant le niqab « d’inhumaines », lorsqu’on qualifie la pratique de la foi musulmane de complot visant à déstabiliser la République.
Comment s’étonner alors que les femmes musulmanes essuient des crachats, soient insultées et agressées dans la rue, soient refoulées des administrations, des banques, des écoles, des centres de formation, soient exclues du marché du travail, ce sans que les autorités ne réagissent.
Les profanateurs de mosquées et de tombes courent toujours. Ces musulmans ne sont-ils pas morts pour que la France soit libre ? Leurs enfants n’ont-ils pas reconstruit le pays jusqu’à en laisser pour certains leur vie et rentrant dans leur pays d’origine dans des cercueils ? Ne pouvaient-ils pas espérer de la France pour laquelle ils ont donné deux fois leur sang qu’elle laisse leurs enfants vivre librement leur foi sans qu’ils soient livrés en pâture à la colère du reste du pays quand il est besoin de masquer une incapacité à traiter les vrais problèmes sociétaux !
Comment s’étonner que des esprits chauffés à blanc passent à l’acte.
Quelle sera la prochaine étape ?
Déjà, les premiers témoignages de femme portant le niqab se faisant insulter dans la rue nous arrivent. C’est le premier fruit du faux débat posé par M.GERIN et ses acolytes
Le Collectif contre l’islamophobie en France
In oumma .com
mardi 7 juillet 2009
Marwa Sherbini, jeune maman de 32ans de confession musulmane a été victime d’un assassinat islamophobe le 1er juillet dernier à Dresde en Allemagne parce qu’elle portait un voile.
L’histoire commence l’année dernière. Marwa, une musulmane d’origine égyptienne est insultée et agressée par un homme alors qu’elle jouait avec son bébé de 2 ans dans un terrain de jeu. L’homme lui a lancé les injures de "terroriste", "islamiste", et tenta à plusieurs reprises de lui retirer son voile de force.
Après qu’une plainte ait été déposée, l’homme fut condamné à une amende de 780 euros. La peine ayant été jugée trop légère, un appel fut déposé et c’est à la cour d’appel de Dresde que l’affaire devait être rejugée mercredi dernier, le 1er juillet. Ali, le mari de Marwa et leur fils de 3 ans étaient aussi présents dans le tribunal. C’est là que tout a dégénéré, l’accusé s’est précipité sur Marwa et l’a poignardé de 18 coups de couteau en moins de 30 secondes ! Son mari a essayé de s’interposer pour protéger sa femme mais fut poignardé lui aussi.
Deux policiers accoururent en urgence sur les lieux de l’agression mais ont pris son époux pour l’agresseur (parce qu’il a bien entendu une tête d’arabe) et lui ont tiré une balle dans la jambe ! Après la confusion, l’agresseur allemand d’origine russe fut maîtrisé.
Mais Marwa est morte de ses blessures dans la cour du tribunal. Elle était enceinte au moment de sa mort ! L’enfant de 3 ans d’Ali et de Marwa fut aussi blessé. Les autorités parlent comme d’habitude de l’acte isolé d’un fou.
Le CCIF condamne de la façon la plus ferme cet acte inqualifiable qui crée une tension sans précédent entre l’Egypte où la dépouille de la défunte vient d’arriver et l’Allemagne. Le CCIF condamne aussi le fait que cette affaire ait été très peu médiatisée en Allemagne, et pas du tout dans notre pays.
Il y a de cela trois ans, le CCIF avait, à l’occasion de conférences internationales, tiré le signal d’alarme, et appelé l’attention de tous sur le risque de voir apparaitre des meurtres à caractère islamophobe en Europe et particulièrement en France. Cet avertissement avait alors été perçu comme exagéré au motif et que rien ne permettait de justifier de tels propos.
Hélas, les évènements nous donnent raison simplement parce - qu’ils sont le reflet de ce qui transparaît sur le terrain que nous occupons : l’agression d’une jeune femme musulmane et voilée à Argenteuil par un groupe de jeunes gens en avril dernier.
Et le 1er juillet, l’assassinat sauvage de Marwa, dont le seul tort était d’être musulmane et de porter le voile.
Les politiques, les gouvernements européens ont une grande part de responsabilité dans l’atmosphère délétère et hostile qui règne actuellement dans la société contre les musulmans.
Certaines déclarations, discours ont pu être compris par certains comme la disqualification d’une certaine frange de la société. C’est effectivement le cas lorsque des politiciens, des élus…traitent les musulmanes voilées de "sac de patates", lorsque certaines personnalités qualifient les femmes portant le niqab « d’inhumaines », lorsqu’on qualifie la pratique de la foi musulmane de complot visant à déstabiliser la République.
Comment s’étonner alors que les femmes musulmanes essuient des crachats, soient insultées et agressées dans la rue, soient refoulées des administrations, des banques, des écoles, des centres de formation, soient exclues du marché du travail, ce sans que les autorités ne réagissent.
Les profanateurs de mosquées et de tombes courent toujours. Ces musulmans ne sont-ils pas morts pour que la France soit libre ? Leurs enfants n’ont-ils pas reconstruit le pays jusqu’à en laisser pour certains leur vie et rentrant dans leur pays d’origine dans des cercueils ? Ne pouvaient-ils pas espérer de la France pour laquelle ils ont donné deux fois leur sang qu’elle laisse leurs enfants vivre librement leur foi sans qu’ils soient livrés en pâture à la colère du reste du pays quand il est besoin de masquer une incapacité à traiter les vrais problèmes sociétaux !
Comment s’étonner que des esprits chauffés à blanc passent à l’acte.
Quelle sera la prochaine étape ?
Déjà, les premiers témoignages de femme portant le niqab se faisant insulter dans la rue nous arrivent. C’est le premier fruit du faux débat posé par M.GERIN et ses acolytes
Le Collectif contre l’islamophobie en France
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Remous dans le sérail politique
Remous dans le sérail politique
Ce qui n’était jusque-là qu’une hypothèse farfelue, formulée par certains cercles politico-médiatiques, tend de plus en plus à se préciser : Saïd Bouteflika, le frère cadet du président de la république, prépare bel et bien la création d’un parti politique.
Un ex-membre du gouvernement l’a confirmé hier en marge de la réunion de l’instance exécutive du FLN. Ce « projet » serait, selon lui, dans sa phase de « normalisation ». Il s’agit, a-t-il dit, de faire d’abord « accepter » à l’opinion ce concept nouveau de succession à la tête de l’Etat. L’ex-ministre affirme que les personnalités politiques, dont certaines faisaient partie du staff de campagne de Bouteflika, ont été « approchées » par le frère et conseiller du président, Saïd Bouteflika. Des tractations poussées, non démenties par la présidence de la république qui, si elles venaient à aboutir, chambouleraient tout le paysage politique. Au FLN, on n’est pas « d’accord » et son secrétaire général le laisse entendre. « Rien ne se fera en dehors ou sans le consentement du FLN », déclarait hier Abdelaziz Belkhadem. La réponse du berger à la bergère.
Même s’il ne le dit pas expressément, Abdelaziz Belkhadem (ministre d’Etat et représentant personnel du président de la république) ne semble pas apprécier les nouvelles qui arrivent du front. Dans son discours alambiqué, aux formes anguleuses, prononcé à l’ouverture des travaux de la Commission exécutive, Belkhadem a mis un point d’honneur à rappeler les bons et loyaux services rendus par le parti au président et revendique la paternité de la « réussite » du dernier scrutin présidentiel comme pour signifier sa désapprobation à l’idée de la création d’un parti politique, dont la mission première est de porter le frère du président à la magistrature suprême. Le Fln a su, à ses dires, démontrer lors de l’élection présidentielle « son potentiel mobilisateur », sa « discipline », sa « présence » et son « ancrage national ». Le patron du FLN est resté néanmoins prudent. A ce propos, l’ex-membre du gouvernement regrette qu’il n’ait pas fait usage de « franchise » face aux cadres de l’instance exécutive, d’un « style direct », préférant à cela une pléthore de non-dits et d’insinuations malicieuses.
Il est difficile cependant de ne pas faire le rapprochement entre les déclarations de Belkhadem et les informations rapportées lundi par le Quotidien d’Oran et faisant état de « contacts intenses », entamés, au pas de charge par Saïd Bouteflika pour le lancement prochain de « son » parti. Ces informations, rendues publiques à quelques mois du 9e Congrès du FLN, ont visiblement fait l’effet d’une bombe au sein du vieux parti. Dans ses travées, le sujet fait indubitablement sensation. La crainte de voir se répéter le scénario de 1997 hante encore les esprits, tant la saignée qui a suivi la création du RND a laissé des séquelles. Belkhadem appelle les militants du parti à faire bloc, « à serrer les rangs » et à ne pas prêter le flanc aux entreprises de déstabilisation qui menacent le parti. « Nous sommes ciblés. Une campagne, qui n’est pas la dernière, cible le FLN depuis l’amendement de la Constitution (…) C’est un rouleau compresseur, qui n’épargne aucune direction de parti, aucun groupe parlementaire (…) », prévient-il ses militants. Une campagne avec ses contingents d’« exécutants » et « surtout de commanditaires » tapis dans l’ombre. « Le FLN se maintiendra, malgré tout debout », se répète-t-il trois fois, sous les applaudissements des membres de l’instance exécutive.
Par Mohand Aziri
El watan
Ce qui n’était jusque-là qu’une hypothèse farfelue, formulée par certains cercles politico-médiatiques, tend de plus en plus à se préciser : Saïd Bouteflika, le frère cadet du président de la république, prépare bel et bien la création d’un parti politique.
Un ex-membre du gouvernement l’a confirmé hier en marge de la réunion de l’instance exécutive du FLN. Ce « projet » serait, selon lui, dans sa phase de « normalisation ». Il s’agit, a-t-il dit, de faire d’abord « accepter » à l’opinion ce concept nouveau de succession à la tête de l’Etat. L’ex-ministre affirme que les personnalités politiques, dont certaines faisaient partie du staff de campagne de Bouteflika, ont été « approchées » par le frère et conseiller du président, Saïd Bouteflika. Des tractations poussées, non démenties par la présidence de la république qui, si elles venaient à aboutir, chambouleraient tout le paysage politique. Au FLN, on n’est pas « d’accord » et son secrétaire général le laisse entendre. « Rien ne se fera en dehors ou sans le consentement du FLN », déclarait hier Abdelaziz Belkhadem. La réponse du berger à la bergère.
Même s’il ne le dit pas expressément, Abdelaziz Belkhadem (ministre d’Etat et représentant personnel du président de la république) ne semble pas apprécier les nouvelles qui arrivent du front. Dans son discours alambiqué, aux formes anguleuses, prononcé à l’ouverture des travaux de la Commission exécutive, Belkhadem a mis un point d’honneur à rappeler les bons et loyaux services rendus par le parti au président et revendique la paternité de la « réussite » du dernier scrutin présidentiel comme pour signifier sa désapprobation à l’idée de la création d’un parti politique, dont la mission première est de porter le frère du président à la magistrature suprême. Le Fln a su, à ses dires, démontrer lors de l’élection présidentielle « son potentiel mobilisateur », sa « discipline », sa « présence » et son « ancrage national ». Le patron du FLN est resté néanmoins prudent. A ce propos, l’ex-membre du gouvernement regrette qu’il n’ait pas fait usage de « franchise » face aux cadres de l’instance exécutive, d’un « style direct », préférant à cela une pléthore de non-dits et d’insinuations malicieuses.
Il est difficile cependant de ne pas faire le rapprochement entre les déclarations de Belkhadem et les informations rapportées lundi par le Quotidien d’Oran et faisant état de « contacts intenses », entamés, au pas de charge par Saïd Bouteflika pour le lancement prochain de « son » parti. Ces informations, rendues publiques à quelques mois du 9e Congrès du FLN, ont visiblement fait l’effet d’une bombe au sein du vieux parti. Dans ses travées, le sujet fait indubitablement sensation. La crainte de voir se répéter le scénario de 1997 hante encore les esprits, tant la saignée qui a suivi la création du RND a laissé des séquelles. Belkhadem appelle les militants du parti à faire bloc, « à serrer les rangs » et à ne pas prêter le flanc aux entreprises de déstabilisation qui menacent le parti. « Nous sommes ciblés. Une campagne, qui n’est pas la dernière, cible le FLN depuis l’amendement de la Constitution (…) C’est un rouleau compresseur, qui n’épargne aucune direction de parti, aucun groupe parlementaire (…) », prévient-il ses militants. Une campagne avec ses contingents d’« exécutants » et « surtout de commanditaires » tapis dans l’ombre. « Le FLN se maintiendra, malgré tout debout », se répète-t-il trois fois, sous les applaudissements des membres de l’instance exécutive.
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Le Cheikh Bachir El Ibrahimi
Le Cheikh Bachir El Ibrahimi : le combat pour la personnalité algérienne (1/2)
mardi 2 juin 2009 - par Nadjib Achour
Dans sa préface à la réédition du Jeune Musulman qui était l’organe en langue française de l’association des oulémas, le Docteur Ahmed Taleb Ibrahimi, le fils du Cheikh Bachir El Ibrahimi, invita la jeunesse algérienne à se souvenir du combat de leurs aînés afin dit-il de constater que « la guerre de libération a été précédée d’une longue résistance de leurs pères afin de préserver leurs âmes »[1]. En effet, la colonisation française en Algérie s’attaqua aux fondements même de la personnalité de l’Algérien en le privant de l’exercice de sa langue, de sa religion, car considérées comme les deux principaux obstacles à la politique de francisation.
Face à cette logique de destruction culturelle du colonisé, des voix s’élevèrent et la résistance s’organisa. Celle-ci fut à ses débuts timides, peu nombreux étaient ceux qui parlaient d’Algérie musulmane, de renaissance de la culture Arabe. Il y eu bien sur l’action des chouyoukhs Ben Smaya, El Medjaoui, Ben Zekri, celle du polémiste Omar Racim, qui se firent les ardents propagandistes des thèses réformistes, et ce bien avant la première guerre mondiale. Mais il fallut attendre le Cheikh Ben Badis pour voir véritablement la doctrine islahiste prendre corps, doctrine qu’il marquera de son sceau et ancrera dans les consciences algériennes, en lui insufflant un esprit patriotique qui lui faisait défaut jusqu’à alors.
Il fut épaulé dans son action de renaissance civilisationnelle du peuple algérien par diverses personnalités, dont la plus importance fut sans conteste, le Cheikh Mohamed Bachir El Ibrahimi. Celui-ci fut l’homme de la transition, de la mutation de l’association des Oulémas, qu’il présida après la disparition du Cheikh Ben Badis, et qu’il orienta vers une posture politique beaucoup plus marquée tranchant avec celle hésitante des débuts. Il réussit à préserver l’héritage badisien, à le capitaliser, à l’ériger en crédo idéologique qui influença de façon définitive le nationalisme algérien................
http://oumma.com/Le-Cheikh-Bachir-El-Ibrahimi-le
mardi 2 juin 2009 - par Nadjib Achour
Dans sa préface à la réédition du Jeune Musulman qui était l’organe en langue française de l’association des oulémas, le Docteur Ahmed Taleb Ibrahimi, le fils du Cheikh Bachir El Ibrahimi, invita la jeunesse algérienne à se souvenir du combat de leurs aînés afin dit-il de constater que « la guerre de libération a été précédée d’une longue résistance de leurs pères afin de préserver leurs âmes »[1]. En effet, la colonisation française en Algérie s’attaqua aux fondements même de la personnalité de l’Algérien en le privant de l’exercice de sa langue, de sa religion, car considérées comme les deux principaux obstacles à la politique de francisation.
Face à cette logique de destruction culturelle du colonisé, des voix s’élevèrent et la résistance s’organisa. Celle-ci fut à ses débuts timides, peu nombreux étaient ceux qui parlaient d’Algérie musulmane, de renaissance de la culture Arabe. Il y eu bien sur l’action des chouyoukhs Ben Smaya, El Medjaoui, Ben Zekri, celle du polémiste Omar Racim, qui se firent les ardents propagandistes des thèses réformistes, et ce bien avant la première guerre mondiale. Mais il fallut attendre le Cheikh Ben Badis pour voir véritablement la doctrine islahiste prendre corps, doctrine qu’il marquera de son sceau et ancrera dans les consciences algériennes, en lui insufflant un esprit patriotique qui lui faisait défaut jusqu’à alors.
Il fut épaulé dans son action de renaissance civilisationnelle du peuple algérien par diverses personnalités, dont la plus importance fut sans conteste, le Cheikh Mohamed Bachir El Ibrahimi. Celui-ci fut l’homme de la transition, de la mutation de l’association des Oulémas, qu’il présida après la disparition du Cheikh Ben Badis, et qu’il orienta vers une posture politique beaucoup plus marquée tranchant avec celle hésitante des débuts. Il réussit à préserver l’héritage badisien, à le capitaliser, à l’ériger en crédo idéologique qui influença de façon définitive le nationalisme algérien................
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ALADIN- anniversaire : 01/01/1913
date d'inscription : 11/05/2009
age : 111
localité : la terre
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Les relations algéro-françaises, la mémoire et l’UPM
Les relations algéro-françaises, la mémoire et l’UPM
Les clarifications de Abdelaziz Ziari
Le président de l’APN, Abdelaziz Ziari, a eu hier, à Paris une série d’entretiens avec les présidents des groupes politiques représentés au sein de l’Assemblée nationale française.
Les relations algéro-françaises, les moyens de leur raffermissement, la question de la mémoire, le projet d’Union pour la Méditerranée (UPM) et des questions internationales comme celles du Sahara occidental et de la Palestine ont été parmi les thèmes abordés lors de ces entretiens. Devant les membres de la commission des affaires étrangères, présidée par Alex Poniatowski, M. Ziari a souligné la nécessité de considérer l’Algérie comme « un partenaire privilégié » de la France au vu de nombreux facteurs géographiques, historiques, économiques et de l’importance du poids que représente la communauté nationale établie en France. Il a souligné l’importance de la consolidation des relations bilatérales, rappelant que la visite que devrait effectuer le président Bouteflika, en France en juin, « a été reportée pour des raisons de calendrier ». Questionné sur la question de la repentance, le président de l’APN a précisé qu’elle « ne constitue nullement un point d’achoppement, ni un préalable ou condition fixée par l’Algérie ». « La question s’est posée après l’adoption par la France de la loi du 23 février 2005 glorifiant le passé colonial de la France. Nous avons ressenti cela comme une provocation. Il est normal que nous réagissons à chaque fois où il y a provocation », a-t-il précisé, selon l’APS qui a rapporté l’information.
M. Ziari a également exposé la vision de l’Algérie, de l’UPM. « Nous étions opposés à une politisation de ce projet régional. Nous sommes favorables à un projet qui initie et met en œuvre des partenariats entre les deux rives de la Méditerranée. L’agression de Ghaza et le blocage de l’UPM, qui en a suivi, ont conforté nos appréhensions et nos craintes au sujet de cette politisation de l’union », a-t-il précisé. Pour lui, la réussite de l’UPM dépend du règlement des problèmes palestinien et sahraoui, deux conflits qui perdurent depuis des années.
Par Aniss Z.
El Watan
Les clarifications de Abdelaziz Ziari
Le président de l’APN, Abdelaziz Ziari, a eu hier, à Paris une série d’entretiens avec les présidents des groupes politiques représentés au sein de l’Assemblée nationale française.
Les relations algéro-françaises, les moyens de leur raffermissement, la question de la mémoire, le projet d’Union pour la Méditerranée (UPM) et des questions internationales comme celles du Sahara occidental et de la Palestine ont été parmi les thèmes abordés lors de ces entretiens. Devant les membres de la commission des affaires étrangères, présidée par Alex Poniatowski, M. Ziari a souligné la nécessité de considérer l’Algérie comme « un partenaire privilégié » de la France au vu de nombreux facteurs géographiques, historiques, économiques et de l’importance du poids que représente la communauté nationale établie en France. Il a souligné l’importance de la consolidation des relations bilatérales, rappelant que la visite que devrait effectuer le président Bouteflika, en France en juin, « a été reportée pour des raisons de calendrier ». Questionné sur la question de la repentance, le président de l’APN a précisé qu’elle « ne constitue nullement un point d’achoppement, ni un préalable ou condition fixée par l’Algérie ». « La question s’est posée après l’adoption par la France de la loi du 23 février 2005 glorifiant le passé colonial de la France. Nous avons ressenti cela comme une provocation. Il est normal que nous réagissons à chaque fois où il y a provocation », a-t-il précisé, selon l’APS qui a rapporté l’information.
M. Ziari a également exposé la vision de l’Algérie, de l’UPM. « Nous étions opposés à une politisation de ce projet régional. Nous sommes favorables à un projet qui initie et met en œuvre des partenariats entre les deux rives de la Méditerranée. L’agression de Ghaza et le blocage de l’UPM, qui en a suivi, ont conforté nos appréhensions et nos craintes au sujet de cette politisation de l’union », a-t-il précisé. Pour lui, la réussite de l’UPM dépend du règlement des problèmes palestinien et sahraoui, deux conflits qui perdurent depuis des années.
Par Aniss Z.
El Watan
Mar Fév 19, 2013 9:37 pm par Admin
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Ven Jan 18, 2013 4:23 am par Admin
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Jeu Aoû 02, 2012 5:31 am par Admin
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Jeu Aoû 02, 2012 5:21 am par Admin
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Jeu Aoû 02, 2012 4:40 am par Admin
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Jeu Avr 26, 2012 5:38 am par Kais
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